samedi 27 novembre 2010

Une image à rebâtir: Tiger n’est pas sorti du bois


Un an jour pour jour après avoir été impliqué dans un accident d’auto qui a mené aux révélations sur ses infidélités matrimoniales et à un divorce hautement médiatisé, Tiger Woods essaie de tourner la page. Pour y arriver, il doit évidemment améliorer son jeu, mais plus encore convaincre les consommateurs et les commanditaires de lui donner une deuxième chance…

«Aucun autre athlète n’a vu la cote de popularité, le niveau de confiance et l’attractivité descendre aussi bas, aussi rapidement», a commenté récemment Rick Horrow, spécialiste en marketing sportif et chargé de cours à la Harvard Law School.

«Il y a deux ans, le circuit de la PGA s’était ‘débrouillé’ tant bien que mal pendant l’absence de Woods en raison d’une blessure, a-t-il ajouté. Cette dernière année, ce n’était pas la vie sans Tiger, mais la vie avec un Tiger… négatif.»

Dans le plus récent Davie Brown Index, un classement utilisé par les clients corporatifs pour déterminer l’habileté des célébrités à influencer les consommateurs, Woods se retrouve au 2586e rang. Avant le scandale sexuel, il occupait la… 96e place, un rang qui le plaçait dans la même lignée que l’acteur Matt Damon et le crooner Frank Sinatra.

Son classement actuel le place dans la même catégorie que le roi des circuits Barry Bonds, qui a dû faire face à des accusations d’utilisation de produits dopants, et l’acteur Mel Gibson, dont les scandales ne se comptent plus…

Les succès répétés de Tiger Woods le faisaient vivre sur une autre planète. Le retour sur Terre s'avère douloureux.
Photo d'archives

Gagner quelques tournois pourrait aider Woods, qui a cédé son titre de joueur numéro un mondial cet automne, à regagner la confiance de consommateurs et l’intérêt de nouveaux partenaires d’affaires, croient plusieurs analystes.

Ces derniers sont cependant d’avis qu’il ne pourra jamais reconquérir le cœur de tous ses fans du passé qui en ont fait l’athlète le plus riche de la planète.

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site de Ruefrontenac.com, cliquez ici.

samedi 20 novembre 2010

Commandite de bière: le baseball assoiffé de dollars supplémentaires


Les Giants de San Francisco ont beau avoir remporté la Série mondiale il y a quelques semaines déjà, mettant ainsi fin à la saison 2010, une partie de bras de fer inattendue se joue présentement entre Major League Baseball Properties (MLBP) et l’un de ses plus fidèles partenaires d’affaires.

Anheuser-Busch (A-B) vient en effet de déposer un recours en justice pour enjoindre le bras commercial de MLB à respecter le renouvellement d’une entente de commandite conclue le printemps dernier permettant à Budweiser de continuer à s’afficher comme la bière officielle du baseball majeur.

De son côté, les représentants de Bud Selig arguent que cette entente n’a jamais été officialisée et exigeraient plus d’argent pour sceller ce pacte en raison «d’un changement dans la dynamique du marché».

La brasserie américaine est liée au baseball majeur depuis plus de 30 ans. De plus, elle a été propriétaire des Cardinals de Saint Louis jusqu’en 1996 et détient toujours les droits d’appellation du stade de cette équipe (Busch Stadium).

A-B est aussi la bière officielle de 26 des 30 formations des deux ligues. Les seules exceptions? Miller commandite les Brewers de Milwaukee, qui disputent leurs parties au Miller Park, et les White Sox de Chicago. Les Rockies du Colorado, qui jouent au Coors Field, sont liés à Coors. La Brasserie Labatt, quant à elle, est associée aux Blue Jays de Toronto.

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site de Ruefrontenac.com, cliquez ici.


jeudi 18 novembre 2010

La transformation d'un stade... en une seule nuit

New Meadowlands Stadium Change Over Time-Lapse from Ken Friberg and Daniel Life on Vimeo.


Comment le nouveau stade de Meadowlands passe du domicile des Giants à celui des Jets de New York en une seule nuit!

samedi 13 novembre 2010

La retraite: pas une sinécure pour les athlètes professionnels



Les athlètes professionnels font plus d’argent que jamais, mais une chose n’a pas changé au fil des années: ils ont encore une grande difficulté à faire une coupure avec le sport qui les a enrichis et rendus célèbres.

«Quand un joueur prend sa retraite, comment réussit-il à se trouver une autre passion?» a exposé Mark Napier, un ancien joueur du Canadien, lors d’une récente conférence sur l’après-carrière des athlètes présentée à Toronto.

L’ancien numéro 31 du Tricolore soutient que le plus gros problème auquel font face les joueurs retraités, dont la plupart ont moins de 40 ans, est l’indécision concernant ce qu’ils feront du reste de leur vie.

«Ce n’est pas un problème d’argent la plupart du temps, mais plutôt une question d’élargir ses horizons, ce qui est plus facile à dire qu’à faire», a-t-il ajouté dans une entrevue accordée au quotidien The Globe and Mail.

Napier, aujourd’hui directeur en chef de la NHL Alumni Association, un organisme indépendant offrant du «support» aux hockeyeurs retraités, souhaiterait que les joueurs soient obligés de se soumettre à un test pendant qu’ils sont encore actifs pour les aider à s’identifier de nouveaux champs d’intérêt.

Plus souvent qu’autrement, les joueurs ne veulent cependant rien savoir de planifier leur avenir… avant qu’ils soient forcés à la retraite par leur équipe!

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site de Ruefrontenac.com, cliquez ici.

samedi 6 novembre 2010

La LNH compte huit propriétaires... milliardaires



Bien que la popularité du hockey ne soit pas aussi grande que celle des trois autres sports professionnels majeurs en Amérique du Nord – surtout aux États-Unis –, la LNH compte pas moins de huit milliardaires parmi ses propriétaires. Aucun n’est cependant lié à une concession canadienne.

Le circuit Bettman possède le même nombre de propriétaires milliardaires que le baseball majeur, ce qui est quand même surprenant. La NBA et la NFL sont mieux «nanties» avec 10 et 16 hommes d’affaires respectivement dont la fortune atteint les 13 chiffres (voir les tableaux à la fin du texte).

Le patron le plus riche de la LNH est Philip Anschutz, des Kings de Los Angeles, un magnat du sport et du divertissement qui est aussi copropriétaire des Lakers (NBA). Il possède également des parts dans sept autres équipes professionnelles.

La valeur de ses actifs dépasse 7G$ (tous les montants sont en dollars américains).

Anschutz, par le biais de son entreprise AEG, est aussi propriétaire de plusieurs amphithéâtres, entre autres le Sprint Center (Kansas City), le Staples Center (Los Angeles) et le complexe LA Live, dont la valeur est estimée à 2,5G$.

Des hôtels, des restaurants et des complexes cinématographiques font également partie de son parc immobilier.

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site de Ruefrontenac.com, cliquez ici.

Free Blog Counter