samedi 26 février 2011

La bière, nouvelle boisson énergisante des sportifs?


Traditionnellement, sports et bière ont toujours fait bon ménage. Que ce soit dans un aréna, un stade ou un salon – devant une télé –, les amateurs aiment bien en boire pendant que des athlètes professionnels suent sur la glace ou le terrain pour mener leur équipe à la victoire.

Aujourd’hui, un brasseur européen tente de promouvoir en Amérique du Nord une de ses bières qu’elle qualifie de boisson énergisante pour sportifs. Assisterons-nous à la revanche des athlètes?

Une étape de la Coupe du monde de biathlon était disputée à la mi-février dans l'État voisin du Maine. La grosse histoire de ce rendez-vous? La commandite de cet événement par une société allemande qui souhaite faire la vie dure non pas à Anheuser-Busch, Molson-Coors ou Labatt, mais à tous les Gatorade du monde. La particularité de cette commandite? Les biathloniens accédant au podium étaient invités à porter à leurs lèvres un grand verre de bière...

«C’est une boisson régénératrice, non alcoolisée, a plaidé Glenn McDonald, directeur général pour les États-Unis d’Erdinger lors des épreuves disputées à Fort Kent. C’est la bière sans alcool (moins de 0,5% par bouteille) la plus populaire en Allemagne. Aussi, plusieurs athlètes européens de haut niveau en boivent pour refaire le plein d’énergie après une course.»

En fait, cette bière sans alcool à base de blé est décrite sur le site Internet d’Erdinger comme «un coupe-soif avec des effets isotoniques qui réhydratent les athlètes en leur fournissant les liquides et les minéraux qu’ils ont perdus pendant l’effort.»

Son slogan? «100 % d’effort. 100% de régénération.»

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samedi 19 février 2011

Soccer – Six équipes européennes sur dix «dans le rouge»


Plusieurs concessions de sport professionnel nord-américaines ont de la difficulté à boucler leur budget, mais ce n’est rien comparativement à ce qui se passe en Europe, où 56 % des 733 formations de première division avaient enregistré des pertes en 2009. On peut dire – avec ou sans jeu de mots – que ça ne tourne pas rond…

Selon le premier rapport sur les finances des clubs – depuis l’adoption du principe de fair-playfinancier – de l’Union européenne des associations de football (UEFA), les formations de première division des 53 pays membres ont encore dépensé plus d’argent qu’ils n’en ont engrangé en 2009, ce qui a provoqué un déficit global de 1,2 milliard d’euros (1,6 G$ CA) – 12,9 milliards d’euros de dépenses contre 11,7 milliards d’euros de revenus.

Ce déficit astronomique représente une hausse de 85 % par rapport à 2008 alors que 48 % des équipes avaient annoncé des pertes significatives.

L’UEFA n’a pas révélé le nom des concessions les plus en difficulté, mais il a fait savoir que seulement quatre des 30 « grands clubs » avaient montré au moins un équilibre financier. C’est une dégradation comparativement à l’année précédente (2008) alors que seulement 37 % de ces « grands clubs » étaient « dans le rouge » (55 % en 2009).

« Le principe de fair-play financier ne vise pas à mettre en difficulté les clubs, mais à les aider à se sortir d’une spirale infernale », a commenté récemment le président de l’UEFA, Michel Platini.

« Ce ne serait pas les aider que de les montrer du doigt », a ajouté celui qui a fait de l’assainissement budgétaire des clubs l’une des priorités de son mandat.

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samedi 12 février 2011

NBA – Le choix du «King» a chambardé la valeur des Cavaliers et du Heat


Aucun joueur en 64 ans d’histoire de la NBA n’a créé un impact aussi grand et instantané sur la valeur des équipes que LeBron James ne l’a fait lorsqu’il a quitté les Cavaliers de Cleveland pour se joindre au Heat de Miami, l’été dernier.

En fait, le changement d’adresse de celui qu’on surnomme le « King » a provoqué le plus gros gain et la plus grosse baisse de valeur en une seule année…

La valeur du Heat s’est accrue de 17 % pour atteindre 425 M$ – au septième rang parmi les 30 formations de la NBA –, tandis que celle des Cavaliers a plongé de 26 % pour s’établir à 355 M$ (15e), d’après l’enquête annuelle menée par la revue Forbes.

Pour la présente saison, le Heat a vendu tout son inventaire de billets de saison, alors qu’il avait connu des baisses d’assistance les quatre années précédentes.

L’équipe a déjà annoncé que le prix des sièges sera majoré la saison prochaine. En surplus, les cotes d’écoute du télédiffuseur régional – Sun Sports – ont doublé cette année.

De leur côté, les Cavaliers, après avoir remporté plus de 60 matchs ces deux dernières saisons, n’en avaient gagné que huit en 45 sorties en 2010-2011.

Cette piètre performance a « obligé » le propriétaire Dan Gilbert à annoncer des baisses de prix pour la prochaine campagne.

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samedi 5 février 2011

Super Bowl – Un «festival de la pub» de plus de 200 M$


Les amateurs de sport ont hâte à dimanche pour voir à l’œuvre les deux meilleures équipes de la NFL – les Packers de Green Bay et les Steelers de Pittsburgh – se disputer le trophée Vince Lombardi, décerné au gagnant du Super Bowl. Pour d’autres, le résultat du match est secondaire parce qu’ils seront rivés à leur écran surtout pour voir les publicités originales que les annonceurs mettront en ondes pour la première fois.

«Deux personnes sur cinq disent regarder le match en raison de la publicité, confie Luc Dupont, professeur agrégé au Département de communication de l’Université d’Ottawa. Une personne sur trois parlera de la publicité au travail le lendemain et 30 % des téléspectateurs affirment essayer au moins un produit annoncé durant le match dans les semaines qui suivent.»

Ce n’est donc pas sans raison que des dizaines d’annonceurs choisissent cet événement pour le lancement et le dévoilement de campagnes publicitaires, d’autant plus que le zapping y est presque inexistant, ce qui est un exploit à l’ère de la multiplication des chaînes.

Lors des deux dernier Super Bowl, les plus grandes entreprises américaines ont dépensé 213 M$ (2009) et 205 M$ (2010), à une moyenne de 3 M$ par tranche de 30 secondes, pour obtenir le droit de présenter et de vanter leurs produits et services à ce large auditoire.

En dix ans, les réseaux américains (ABC, CBS, Fox et NBC) ont engrangé plus de 1,6 milliard de dollars, selon un relevé effectué par la firme d’analyse médiatique Kantar Media. De 2001 à 2010, le Super Bowl a été ponctué de plus de 850 messages publicitaires qui ont occupé 425 minutes de temps d’antenne (plus de sept heures!).

Les cinq plus gros annonceurs des dix dernières années ont investi près de 600 M$ en publicités pendant le dernier match de la saison, ce qui constitue 36 % des revenus totaux.

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