Les équipementiers sportifs adidas, Nike et Puma sont les partenaires associés au soccer avec la plus grande notoriété dans les cinq plus grands marchés européens, révèle une étude réalisée par la firme allemande Sport+Markt.
En fait, ce sont les marques que les amateurs de soccer de l'Allemagne, de l'Espagne, de la France, de la Grande-Bretagne et de l'Italie peuvent nommer le plus spontanément comme commanditaires. Adidas et Nike, qui viennent aux rangs 1 et 2 respectivement de ce sondage, détiennent la même position qu'en 2004-2005, moment où la même étude a été réalisée la dernière fois. Puma est passé de la huitième à la troisième place.
Les positions 4 et 5 sont occupées par deux partenaires de la Coupe du monde de soccer, Coca-Cola et Emirates, ce dernier étant aussi commanditaires des uniformes d'Arsenal, de l'AC Milan, du Hambourg SV et du Paris Saint-Germain ainsi que le détenteur des droits d'appellation du stade de l'ancien club de Thierry Henry.
Les nouvelles marques dans le Top 20 en 2009-2010, qui ne figuraient pas dans cette liste en 2004-2005, incluent AIG (#6), Audi (#8), Samsung (#10), Unicef (#15), Mastercard (#17), Orange (#18) et Heineken (#20).
La liste des 20 commanditaires du soccer européen avec la meilleure notoriété :
1. adidas 2. Nike 3. Puma 4. Coca-Cola 5. Emirates 6. AIG 7. Carlsberg 8. Audi 9. bwin 10. Samsung 11. Reebok 12. Opel 13. Vodafone 14. Ford 15. Unicef 16. Umbro 17. Mastercard 18. Orange 19. Sony 20. Heineken Plus de 3 000 personnes âgés entre 16 et 69 ans, avec un intérêt pour le soccer dans les cinq marchés visés, ont été interrogées dans le cadre de cette étude.
Les Panthers de la Floride, par le biais d'un nouveau commanditaire, seraient la première équipe professionnelle à offrir un service de garde pendant les parties disputées au BankAtlantic Center.
The Learning Experience, qui a conclu une entente de trois ans évaluée dans les six chiffres avec les Panthers, fait une première incursion dans le sport.
Son président Richard Weissman a toutefois confié au SportsBusiness Journal qu'il s'attendait à signer des ententes similaires avec d'autres équipes professionnelles d'ici la fin de l'année.
Le premier Club House for Kids a ouvert ses portes samedi dernier. Il en coûte 25$ pour un enfant et 40$ pour deux aux détenteurs de billets de saison et 35$ et 50$, respectivement, pour ceux qui n'en possèdent pas. Les enfants laissés au service de garde n'ont pas besoin de billets pour accéder à l'aréna.
Pour lire un article du SportsBusiness Journal (en anglais) à ce sujet, cliquez ici.
Les Dolphins de Miami ont dévoilé ces derniers jours un projet de toit translucide de 621 000 pieds carrés pour le Sun Life Stadium (jusqu'à tout récemment le Land Shark Stadium), une innovation qui assurerait la présentation d'autres Super Bowl dans le sud de la Floride.
Cette formation de la NFL, dont le stade sera l'hôte du Super Bowl le 7 février prochain, veut s'assurer que la 44e édition ne soit pas la dernière disputée à Miami.
Lors du dernier match du Super Bowl tenu là-bas en 2007, un violent orage s'était abattu sur les spectateurs, forçant plusieurs d'entre eux à se réfugier sous les estrades. Pendant plusieurs minutes, le reportage télévisé avait montré de nombreux sièges vides, ce que n'avaient pas apprécié les dirigeants de la NFL. Ces derniers ont même menacé d'ignorer le sud de la Floride dans le futur pour la tenue du Super Bowl si une «solution» n'était pas trouvée...
Le président et chef de la direction des Dolphins, Mike Dee, a expliqué que la structure proposée - un toit translucide doté d'une ouverture au-dessus du terrain - préserverait l'impression de stade ouvert tout en protégeant les spectateurs de la pluie. L'équipe en profiterait pour rajouter des sièges à proximité du terrain et pour rajeunir son système d'éclairage.
Selon certaines rumeurs, le coût de ces rénovations oscillerait entre 200 et 250 M$.
Et qui paiera la note? Les Dolphins pourraient demander la participation d'un ou de plusieurs paliers de gouvernement de la Floride. Une opération qui s'annonce difficile quand on connaît la saga qui a entouré le projet de stade des Marlins, dont le propriétaire est Jeffrey Loria !
Pour voir d'autres photos de la maquette présentée aux médias, cliquez ici.
On se demandait bien où s'en allait Red Bull avec son idée de faire rouler une F-1 sur la glace d'un plan d'eau au Québec...
Finalement, c'était encore un coup de marketing ! Une vidéo montrant une F-1 glisser sur la neige et la glace fait présentement le tour du monde. Voici ce que rapportait Infopresse.com il y a quelques jours:
Red Bull célèbre le retour de la Formule 1 à Montréal à l'aide d'une nouvelle vidéo (ci-dessus).
Conçue pour la division de courses de la marque, elle met en valeur l'hiver québécois et la passion de la F-1.
Dans le cadre du Red Bull Frozen One, la boisson énergisante avait annoncé une démonstration du pilote Sébastien Buemi. L'événement, qui devait à l'origine avoir lieu sur la glace du Bassin olympique, a été annulé en raison d'une hausse de la température. Les séquences présentant la voiture de course ont donc été prises en Mauricie.
Marketing, marketing, marketing, c'est la recette de Red Bull... et elle semble être bonne.
D'ici au match du Super Bowl le 7 février, je publierai une section spéciale (en haut, à droite) sur toute l'actualité entourant les publicités diffusées aux États-Unis pendant le match de championnat de la NFL.
À chaque jour, j'ajouterai des liens vers des articles, des communiqués ou des vidéos qui traiteront de ce sujet à la mode.
On pourra même voir en primeur quelques-unes des publicités qui seront présentées aux États-Unis pendant le Super Bowl. Pour en avoir un aperçu, cliquez ici.
Le réseau américain NBC prévoit enregistrer un déficit d’un peu moins de 200 M$ US avec la télédiffusion des Jeux d’hiver de Vancouver – une première – en raison des turbulences économiques, ce qui pourrait amener les médias à reconsidérer les sommes qu’ils consentent au Comité international olympique (CIO) pour obtenir ces droits.
Un membre de la commission exécutive du CIO, Richard Carrión, a d’ailleurs fait savoir que son organisation analysait sérieusement la possibilité de reporter à 2011 l’octroi des droits médiatiques aux États-Unis en vue des Jeux de 2014 (Sochi) et de 2016 (Rio de Janeiro) pour donner le temps nécessaire au marché publicitaire de « remonter la pente ».
Le CIO avait planifié vendre les droits de télédiffusion ce printemps, tout juste après les Jeux de Vancouver, pour lesquels on s’attend à de très bonnes cotes d’écoute aux États-Unis.
Pour lire la suite de cette chronique publiée sur Ruefrontenac.com, cliquez ici.
La firme Nielsen, «le leader mondial des services d'information, des systèmes d'analyse, des outils de recherche marketing et des services aux professionnels permettant à ces derniers de consolider et d'accroître leurs parts de marché» a émis un communiqué de presse très intéressant en milieu de semaine.
D'après les résultats d'un sondage mené auprès d'un échantillonnage de quelque 25 000 ménages, la majorité des téléspectateurs du match du Super Bowl se gargarisent davantage des publicités que de l'action sur le terrain.
En fait, 51% des personnes interrogées ont dit qu'ils appréciaient encore plus les annonces publicitaires que le match en lui-même.
L'étude nous apprend également que plus les publicités sont diffusées tôt durant le match, plus elles sont aimées et retenues par les téléspectateurs (voir le tableau ci-dessus). Et que les sites Internet des annonceurs connaissaient un achalandage accru (parfois record) le lendemain du Super Bowl. Pour lire le communiqué de presse (en anglais) de Nielsen et consulter d'autres statistiques «étonnantes», cliquez ici.
Les Cubs de Chicago ont annoncé ces derniers jours des rénovations majeures au Wrigley Field qui seraient complétées à temps pour la saison 2014, la 100e de ce mythique stade.
La pièce maîtresse de ces travaux est l'érection d'un bâtiment de forme triangulaire (voir croquis ci-dessus) du côté ouest du stade (vers le troisième-but) qui rajouterait des espaces de stationnement ainsi qu'une aire de restauration et de magasinage à l'étage supérieur.
Le président de l'équipe, Crane Kenney, a indiqué que toutes les sections du stade, à l'exception des estrades populaires, seraient rénovées d'ici 2013 «pour permettre aux Cubs de jouer un autre 100 ans au Wrigley Field».
Kenney n'a pas chiffré le coût de ces travaux qui ne devraient pas avoir d'impacts négatifs sur aucune saison de baseball de l'équipe.
Pour lire (en anglais) un article du Chicago Tribune à ce sujet, cliquez ici.
La Financière Sun Life (en français), une entreprise canadienne de services financiers qui oeuvre à l'échelle internationale, devrait annoncer aujourd'hui qu'elle a acquis les droits d'appellation du stade des Dolphins de Miami... quelques semaines seulement avant la tenue du prochain Super Bowl !
L'entreprise, dont le siège social est situé à... Toronto, aurait conclu une entente de cinq ans avec les Dolphins qui, selon des informations émanant du sud de la Floride, rapportera quelque 7,5 M$ par année à cette formation de la NFL.
Le stade, qui sera rebaptisé Sun Life Stadium, s'appelait jusqu'à aujourd'hui Land Shark Stadium, du nom d'une brasserie co-actionnnaire des Dolphins. Par le passé, ce stade a porté le nom de Pro Player Park, Joe Robbie Stadium, Pro Player Stadium et... Dolphins Stadium.
Selon le National Post, La Financière Sun Life, qui aurait engrangé le tiers de ses revenus aux États-Unis en 2008, offre une gamme diversifiée de services et de produits dans les domaines de l'assurance et de la constitution de patrimoine.
Constituée en 1865, elle exerce aujourd'hui ses activités dans les plus importants marchés du monde, notamment au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Irlande, à Hong Kong, aux Philippines, au Japon, en Indonésie, en Inde, en Chine et aux Bermudes.
Au 30 septembre 2009, l'actif total géré des compagnies du groupe Financière Sun Life s'élevait à 412 milliards de dollars.
Les actions de la Financière Sun Life inc. sont inscrites à la Bourse de Toronto (TSX), à la Bourse de New York (NYSE) et à la Bourse des Philippines (PSE) sous le symbole «SLF».
MISE À JOUR: La Financière Sun Life a confirmé l'entente mercredi matin par communiqué de presse.
Pour la première fois, la NFL a mis en vente des accès très rapprochés à la tempête de confettis qui s'abat à chaque année sur le terrain après le Super Bowl.
Quelque 700 personnes pourront profiter de cette expérience unique le 7 février au Land Shark Stadium de Miami. Mais, attention, ces places ne sont pas données!
Sur le site www.nflonlocation.net, des billets individuels sont offerts au prix «modique» de 5 749 $... jusqu'à 9 799 $. La différence entre les prix? L'emplacement de votre siège dans le stade.
À part de cela, le billet inclut quatre nuitées à l'hôtel, un espace de stationnement privilégié, des partys d'avant et d'après-partie ainsi que d'autres surprises...
Habituellement, l'accès au terrain est limité aux joueurs et à leurs familles, aux dirigeants de la NFL et aux équipes de production télévisée. Sept cent amateurs accéderont à la surface de jeu environ 15 minutes après la présentation du trophée Vince Lombardi et pourront se joindre aux célébrations pendant une trentaine de minutes.
Les prix réguliers des sièges pour le match du Super Bowl sont fixés à 500 $, 800 $, 900 $ et 1 000 $...
Le match du Super Bowl a généré des ventes de 2,17 milliards de dollars US sur les réseaux de télévision américains au cours des 20 dernières années, 210 annonceurs y ayant présenté plus de 1 400 messages publicitaires.
La firme américaine TNS Media Intelligence a rendu publiques, la semaine dernière, des statistiques fort intéressantes entourant la présentation du match de championnat de la NFL à la télé entre 1990 et 2009. Le coût d’un espace de 30 secondes pendant le Super Bowl a plus que quadruplé en 20 ans pour atteindre 3 millions de dollars en 2009. Pour l’édition de cette année, on s’attend à ce que les prix reculent (entre 2,5 et 2,8 M$) en raison de la récession.
Pour lire la suite de cette chronique publiée sur le site Ruefrontenac.com, cliquez ici.
L'uniforme #4 de Brett Favre, des Vikings du Minnesota, est demeuré en tête des ventes de NFLShop.com pour la période du 1er avril au 3 janvier derniers.
Celui de Troy Polamalu, des Steelers de Pittsburgh, a conservé sa deuxième place pendant que Peyton Manning, qui occupait le 11e rang en date du 29 octobre, a pris la place de Jay Cutler, des Bears de Chicago, en troisième position.
Manning et Drew Brees, des Saints de La Nouvelle-Orléans, ont cependant été les plus en demande pendant que leur équipe respective tentait de demeurer invaincue en fin de saison régulière.
Les uniformes en «perte de vitesse»? Cutler (3 à 13), Mark Sanchez, des Jets de New York (7 à 14), et Michael Vick, des Eagles de Philadelphie (10 à 18).
Les 25 uniformes (joueurs) les plus vendus dans la NFL (1er avril 2009 au 3 janvier 2010):
Brett Favre, Vikings du Minnesota
Troy Polamalu, Steelers de Pittsburgh
Peyton Manning, Colts d'Indianapolis
Drew Brees, Saints de La Nouvelle-Orléans
Adrian Peterson, Vikings du Minnesota
Tom Brady, Patriots de la Nouvelle-Angleterre
Tony Romo, Cowboys de Dallas
Eli Manning, Giants de New York
Ben Roethlisberger, Steelers de Pittsburgh
Jason Witten, Cowboys de Dallas
Aaron Rodgers, Packers de Green Bay
Larry Fitzgerald, Cardinals de l'Arizona
Jay Cutler, Bears de Chicago
Mark Sanchez, Jets de New York
Marion Barber, Cowboys de Dallas
DeSean Jackson, Eagles de Philadelphie
LaDainian Tomlinson, Chargers de San Diego
Michael Vick, Eagles de Philadelphie
Hines Ward, Steelers de Pittsburgh
Joe Flacco, Ravens de Baltimore
Wes Welker, Patriots de la Nouvelle-Angleterre
Chad Ochocinco, Bengals de Cincinnati
Matt Ryan, Falcons d'Atlanta
Philip Rivers, Chargers de San Diego
DeMarcus Ware, Cowboys de Dallas
Les 10 uniformes (équipes) les plus vendus dans la NFL (1er avril 2009 au 3 janvier 2010):
À trois semaines du match de championnat de la NFL, le réseau CBS révèle avoir écoulé 95 % des 62 espaces publicitaires disponibles durant le Super Bowl, qui sera disputé à Miami en Floride.
À la même période, avant le dernier Super Bowl présenté sur ses ondes en 2007, cette chaîne américaine avait encore 11 ou 12 plages de 30 secondes à vendre, a rappelé John Bogusz, vice-président exécutif aux ventes de CBS Sports, dans une entrevue accordée au USA Today.
C’est une belle « performance » quand on sait que les États-Unis se relèvent encore difficilement de la récession économique s’étant abattue durement sur eux ces derniers mois et que deux annonceurs de longue date du Super Bowl – Pepsi-Cola et General Motors – ont décidé de « passer leur tour » cette année.
Pour lire la suite de cette chronique publiée sur Ruefrontenac.com, cliquez ici.
La planète «sport» a décidé de venir en aide aux sinistrés du récent tremblement de terre en Haïti. Les annonces d'aide financière affluent depuis la tragédie qui a frappé le peuple haïtien mardi dernier. Vous trouverez ci-dessous des liens vers des articles publiés dans Internet:
Dans une chronique publiée l'automne dernier sur le site Ruefrontenac.com, je vous racontais que «la décision de Marcus Jordan de porter les célèbres chaussures de son père, Michael – Nike Jordan Air –, pendant un match de son équipe collégiale, pourrait faire perdre une commandite d’adidas, une entente de six ans évaluée à 3 M$US, à l’université Central Florida (UCF)».
À l'époque, adidas jugeait que le fils de Michael Jordan lui faisait un «affront» en ne respectant pas l'entente signée entre les deux parties.
Comme il fallait s'y attendre, le quotidien Orlando Sentinel a rapporté ces jours-ci que UCF et adidas avaient conclu une entente formelle en décembre... pour mettre fin à leur partenariat de huit ans.
Les deux parties honoreront toutefois le présent contrat jusqu'à sa conclusion, le 30 juin 2010. Cette décision a donc mis fin aux négociations en vue du renouvellement de cette commandite qui aurait pu rapporter encore plus d'argent dans le futur (plus de 500 000 $ par année). UCF est donc à la recherche d'un nouveau fournisseur pour toutes ses équipes. Aux dernières nouvelles, Nike ne s'était pas encore manifesté...
Dans cette «tempête», les dirigeants d'UCF ont toujours supporté Marcus Jordan, arguant qu'adidas avait donné son accord pour qu'il porte des chaussures de sa rivale Nike... avant de se raviser au début de la saison.
Pour voir la chronologie de cette histoire (en anglais), cliquez ici.
La joueuse de tennis Maria Sharapova a renouvelé son entente de commandite avec Nike qui lui rapportera une somme de 70 millions de dollars américains sur une période de huit ans.
Selon l'agence Bloomberg, ce pacte prendrait effet ce mois-ci et comprendrait une ligne de vêtements dessinés par l'ancienne numéro un mondial. La Russe de 22 ans recevrait un pourcentage des ventes.
Plus grand manufacturier de chaussures de sport, Nike est associé avec Sharapova depuis 11 ans. Depuis qu'elle a gagné Wimbledon en 2004 à l'âge de 17 ans, Sharapova est devenue l'une des joueuses les plus en vue sur le circuit féminin et l'une des sportives les mieux rémunérées de la planète. Elle a aussi remporté les Internationaux d'Australie et des États-Unis.
Selon Sports Illustrated, Sharapova engrange près de 22 M$ US par année en bourses et en commandites. Outre Nike, elle est également associée à Tiffany & Co, Sony Ericsson Mobile Communications et Canon notamment.
L'agent de Sharapova à IMG Tennis, Max Eisenburg, a dit à Bloomberg qu'«elle est très contente de rester associée à Nike, de rester dans la famille qu'elle a adoptée depuis l'âge de 11 ans».
Le président de la Chambre des représentants de l'État du Masschusetts, Robert A. DeLeo, a envoyé une lettre au commissaire Gary Bettman dans laquelle il demande à la LNH de considérer la tenue d'un match en plein air à chaque année à Boston compte tenu du «succès remporté» par la Classique hivernale le 1er janvier dernier.
Il ne manque pas de gêne, ce politicien américain! Sait-il que le hockey a été inventé au Canada?
«Pour la LNH, tenir une partie en plein air à chaque année à Boston permettrait de solidifier la base d'amateurs dans notre région et d'assurer un succès à cet événement dans l'avenir», écrit-il dans la lettre.
N'en déplaise à M. Deleo, la LNH pourrait même tenir deux événements la saison prochaine, mais il serait très surprenant qu'elle revienne au Fenway Park, le domicile des Red Sox.
En 2010-2011, la Classique hivernale pourrait avoir lieu à Pittsburgh (au Heinz Field, le stade des Steelers) le Jour de l'An avec un affrontement Capitals-Penguins et un autre match serait disputé chez nous dans le cadre de Hockey Day in Canada. Calgary partirait favorite pour recevoir ce match disputé dans le stade des Stampeders.
Aux États-Unis, la première rumeur faisait état de la tenue possible de ce match au stade des Yankees, mais la présentation d'un match de football collégial durant la même période rendrait cette option impossible. Un dirigeant des Mets aurait fait part de la disponibilité du Citi Field si la LNH tient à disputer ce match à New York. Un duel Rangers-Islanders ou Rangers-Devils en vue?
Enfin, quelque chiffres intéressants sur la dernière Classique hivernale:
38 112 spectateurs ont assisté au match au Fenway Park;
la vente de billets a rapporté 8 M$ US;
les cotes d'écoute du réseau NBC ont baissé de 10,3% comparativement au match Red Wings-Blackhawks de l'année précédente au Wrigley Field;
NBC a engrangé des revenus publicitaires de 3 M$ US, trois fois plus qu'en 2008;
selon la LNH, la vente des commandites associées à cet événement progresse de 66% par année;
la partie des légendes, le lendemain, a permis de recueillir 600 000 $ US au bénéfice des Fondations des Bruins et des Red Sox ainsi que de l'organisme Hockey Fights Cancer.
Sa construction n'a pas encore débuté, mais il appert que Liverpool serait sur le point de conclure une entente avec une société asiatique portant sur la vente des droits d'appellation du futur stade des Reds, une formation mythique de l'English Premier League.
Le directeur commercial de l'équipe, Ian Ayre, a confirmé que les dirigeants avaient décidé d'imiter d'autres clubs, comme Arsenal par exemple, et de monnayer le nom du nouveau stade dont l'érection commencera à Stanley Park dès le mois d'avril.
Le nom de l'éventuel commanditaire et le coût de la transaction n'ont pas été révélés.
Liverpool, dont la valeur est estimée à plus de 1 G$ US par la revue Forbes, n'a pas vraiment le choix d'adopter cette «mesure drastique» puisque sa dette atteint environ 400 M$ US.
En septembre, les Reds avaient annoncé la conclusion d'une entente de commandite d'uniformes avec la banque Standard Chartered, qui remplacera le brasseur Carlsberg, associé à l'équipe depuis 17 ans, à la fin de la saison 2010. Cet accord d’une durée de quatre ans est évaluée à 32 M$ US par année, ce qui en fait l'un des deux plus lucratifs contrats du genre de l’histoire - l'autre unit Manchester United à AON Corporation.
Rappelons que Liverpool appartient à deux Américains depuis 2007, soit l'ex-propriétaire du Canadien, George Gillett, ainsi que le propriétaire des Stars de Dallas et des Rangers du Texas, Tom Hicks.
Des rumeurs persistantes soutiennent que Gillett voudrait se départir de ses parts (50%) et qu'il négocierait en ce sens avec de riches investisseurs du Moyen-Orient.
Pour lire (en anglais) la nouvelle complète publiée sur un site Internet indépendant dédié à cette équipe, cliquez ici.
Ce printemps, l'implosion du Texas Stadium, l'ancien domicile des Cowboys de Dallas, sera baptisée le «Cheddar Explosion».
C'est le nom qu'a donné Kraft Foods à une campagne promotionnelle inusitée qui a reçu la bénédiction du conseil municipal d'Irving, au Texas, la veille du Nouvel An.
Pour obtenir ce droit, le fabricant du Kraft Dinner (Kraft Macaroni & Cheese aux États-Unis) s'est engagé à verser une somme de 75 000 $US et à fournir des produits alimentaires d'une valeur de 75 000 $US à des organismes de charité déterminés par la Ville dans les deux cas.
Kraft Foods lancera un concours à l'échelle nationale la semaine prochaine par lequel un enfant sera choisi et appelé à actionner la détonation.
La démolition du Texas Stadium aura lieu entre le 14 mars et le 18 avril. La date précise sera annoncée le 13 janvier. Il est plus que probable que ce soit un dimanche matin alors que la circulation est moindre autour du stade.
L'implosion, qui coûtera 5,8 M$ US à la municipalité, sera captée par plusieurs webcams installés autour du stade qui a accueilli les Cowboys pendant presque 40 ans, de 1971 à 2008.
La ville d'Irving s'attend à obtenir une visibilité évaluée à 1 M$ US par le biais de la campagne promotionnelle de Kraft Foods.
Lorsque la structure aura été réduite en poussière, le site sera transformée en un développement mixte (résidentiel et commercial).
La victoire du Crimson Tide de l'Alabama aux dépens des Longhorns du Texas lors du match de championnat du BCS, jeudi, a valu un boni de 200 000 $ à l'entraîneur en chef Nick Saban, qui s'est ajouté aux 200 000 $ qu'il avait déjà mérité pour avoir mené son équipe à la finale du football universitaire américain.
Ce pactole totalise malgré tout 50 000 $ de moins que son vis-à-vis Mack Brown aurait obtenu si les Longhorns avaient poursuivi leur remontée en fin de match.
Brown n'est toutefois pas à plaindre puisqu'il encaisse un salaire annuel de 5,1 M$.
Saban, lui, doit se contenter d'une rétribution annuelle de 4,7 M$!
En fait, Brown et Saban sont deux des entraîneurs universitaires les mieux rémunérés de la profession.
En comparaison, le salaire moyen annuel des enseignants universitaires s'élève à 115 000 $.
Si on ne s’en tient qu’aux retombées sportives, le Air Canada Centre de Toronto s’avère le deuxième plus rentable amphithéâtre en Amérique du Nord, révèle une étude réalisée par la revue financière américaine Forbes.
Pour lire la suite de ma chronique du samedi sur Ruefrontenac.com, cliquez ici.
Le même jour (mercredi) où il a été élu au Panthéon de la renommée du baseball, l'ancien numéro 10 des Expos de Montréal a conclu une entente de représentation avec Dreams inc., une firme floridienne spécialisée dans la vente d'articles promotionnels et de produits dérivés.
«Compte tenu du grand honneur qui m'a été réservé (l'intronisation aura lieu en juillet à Cooperstown), je recevrai beaucoup plus d'offres de la part de médias et d'entreprises qui devront être considérées et, s'il y a lieu, coordonnées, a indiqué Dawson dans un communiqué. C'est dans cet esprit que j'ai décidé de m'associer avec cette entreprise.» Le président de la division marketing de Dreams inc., Warren H. Greene, a spécifié qu'un de ses premiers mandats avec Dawson sera de donner une seconde vie à son site Internet pour «permettre à ses fans d'accéder plus facilement à du contenu à jour et à des produits dérivés uniques liés à son intronisation au Panthéon».
En plus des Expos, Dawson a évolué avec les Cubs de Chicago, les Red Sox de Boston et les Marlins de la Floride avec qui il a mis fin à sa carrière en 1996.
Depuis, l'homme de 55 ans occupe un poste de conseiller spécial au président des Marlins, David Samson.
La vague de «lipdub» qui déferle dans le monde, et même au Québec... dans le domaine hospitalier notamment, frappe aussi la planète sportive.
Le célèbre couple Toni Parker - Eva Longoria vient de réaliser un «lipdub» dans lequel il chante en «playback» sur un air du film Grease, «Summer Nights».
Le joueur des Spurs de San Antonio (NBA) et l'actrice de Desperates Housewives (ABC) apparaissent tous deux dans cette vidéo, affublés de perruques, blonde pour elle, brune et touffue pour lui, à côtés d'«acteurs de soutien» comme dans le film original qui mettait en vedette John Travolta et Olivia Newton-John.
Cette vidéo a été réalisée afin de promouvoir un concours sur le site Internet de Parker où l'athlète d'origine française invite ses lecteurs à soumettre d'ici la fin du mois de janvier un «lipdub» d'une comédie de leur choix dans lequel ils devront être «costumés»...
L'auteur du meilleur «lipdub» méritera un voyage pour assister à un match des Spurs, à San Antonio, d'ici la fin de la saison régulière de la NBA.
La revue Forbes vient de classer les 20 plus riches équipes de football universitaire aux États-Unis.
Par richesse, on sous-entend les profits générés par l'équipe à chaque année, un montant qui est souvent réinvesti dans les programmes académiques des universités.
La première place revient aux Longhorns de l'Université du Texas qui, incidemment, disputeront demain le match de championnat du BCS au Crimson Tide de l'Alabama, au cinquième rang de ce palmarès.
En deuxième position, on retrouve la célèbre Université Notre Dame (Fighting Irish).
La troisième place est occupée par les Nittany Lions de Pennsylviana State.
Pour voir un diaporama des 20 premières universités et la valeur attribuée à chacune d'entre elles, cliquez ici.
Trois des quatre sports professionnels majeurs sont en action à ce stade-ci de l'année; la NFL vient de compléter sa saison régulière alors que la LNH et la NBA sont à mi-chemin de leur saison 2009-2010.
De temps en temps, il est bon de jeter un coup d'oeil aux statistiques d'assistance pour constater les effets de la crise économique sur chacune des ligues. Voici mes constats:
Le hockey se meurt dans le Sun Belt (la partie sud des États-Unis). Onze équipes de la LNH ont une moyenne de moins de 15 157 spectateurs par match, un chiffre qui s'apparente à la capacité du vieux Colisée de Québec! C'est tout dire...
La pire performance: Coyotes de Phoenix (10 700); Les plus surprenantes: Avalanche du Colorado (13 861) et Ducks d'Anaheim (14 949).
Le Canadien? Toujours des salles combles de 21 273 !
Pour consulter les statistiques d'assistance de la LNH, cliquez ici.
La NBA rencontre les mêmes difficultés que la LNH. Dix des 30 équipes du circuit Stern montrent une moyenne d'assistance en-deçà de 15 400 spectateurs. Quelle équipe en arrache le plus? Les 76ers de Philadelphie, dont le taux d'occupation n'atteint que 66% (13 469 spectateurs en moyenne). Les Grizzlies de Memphis(12 686), les Kings de Sacramento (13 181), les Nets du new Jersey (13 850) et les Pacers de l'Indiana (13 917) montrent aussi des baisses «dramatiques» aux guichets.
Sans surprise, ce sont les Bulls de Chicago (20 751) et les Cavaliers de Cleveland (20 562) qui mènent la ligue à ce chapitre.
Pour consulter les statistiques d'assistance de la NBA, cliquez ici.
Ça va un peu mieux dans la NFL. Seulement quatre équipes ont enregistré des taux d'occupation de moins de 85%. Il s'agit des Raiders d'Oakland (une moyenne de 44 282 - 70,3%), des Lions de Detroit (49 395 - 76,6%), des Jaguars de Jacksonville (49 651 - 73,9%) et des Rams de Saint Louis (55 237 - 84,6%).
Grâce à leur nouveau stade, les Cowboys de Dallas mènent la ligue avec une assistance moyenne de 89 756 spectateurs (112,2%).
Pour consulter les statistiques d'assistance de la NFL, cliquez ici.
Montréal est l’une des villes nord-américaines les plus sous-représentées en équipes professionnelles et aurait « les reins assez solides » pour supporter de nouvelles concessions dans la MLS, la NBA, la NFL ou… le baseball majeur.
Cinq ans après le départ des Expos, une récente étude réalisée par un groupe de publications économiques américaines – Bizjournals – révèle que l’agglomération montréalaise est l’un des marchés les plus propices pour le relocalisation d’une équipe ou l’expansion d’une ligue.
Les deux paragraphes ci-dessus sont tirés de ma dernière chronique publiée sur le site RueFrontenac.com. Pour lire l'article au complet, cliquez ici.
Pour accéder au dossier complet de Bizjournals (en anglais), cliquez sur les liens suivants:
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