samedi 30 avril 2011

Les Yankees détrônés... par Barcelone et le Real Madrid!

Barcelone et le Real Madrid versent maintenant de meilleurs salaires à leurs joueurs que les Yankees de New York, en tête l’année dernière, selon une analyse réalisée par Sporting Intelligence, une firme spécialisée britannique.

Les Yankees occupent le troisième rang à 6,8 M$ (ou 129 929$ par semaine).Cette étude, qui sera rendue publique dans la section spéciale «All About the Money» du ESPN Magazine du 2 mai, révèle que les clubs de soccer espagnols Barcelone et Real Madrid consentent en moyenne 7,9 M$ (ou 152 130$ par semaine) et 7,4 M$ (ou 141 474$ par semaine) respectivement à chacun de leurs porte-couleurs.

Les Lakers de Los Angeles et le Magic d’Orlando, deux formations de la NBA, suivent dans l’ordre. D’ailleurs, huit autres équipes du circuit Stern se retrouvent dans le top 30.

Les Raptors de Toronto, eux, occupent la 46e place avec un salaire annuel moyen par joueur de 3,9 M$ (ou 75 304$ par semaine), ce qui leur confère le premier rang au Canada.

Chelsea (6e), Manchester City (10e), Manchester United (16e), Liverpool (20e) et Arsenal (22e) sont également aux avant-postes, ce qui fait de la English Premier League (EPL) le circuit de soccer le plus riche du monde.

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site Ruefrontenac.com, cliquez ici.


samedi 23 avril 2011

Payantes, les séries !


L’organisation montréalaise ne l’avouera jamais, mais elle a plus qu’une raison de se réjouir de la présence du Canadien en séries éliminatoires. Faire les «détails», comme le disent encore les plus vieux, ça reste une question de fierté pour les joueurs et le personnel hockey, mais c’est surtout une source de revenus inestimable pour une concession de la LNH. Portrait financier de «l’autre saison».

Ce qui ne peut être contesté – la direction du Canadien refuse systématiquement, d’année en année, de confirmer les chiffres mis sur la table –, c’est que les séries éliminatoires sont la période la plus rentable de l’année pour toutes les équipes qualifiées comme le Tricolore.

Pourquoi? Deux raisons principales expliquent cette rentabilité accrue.

Tout d’abord, les formations n’ont pas à verser de salaire aux joueurs pendant les séries. Le contrat qu’ils ont signé avec leur équipe respective prévoit la remise d’un chèque toutes les deux semaines durant la saison régulière.

Si leur équipe accède aux séries, les joueurs sont rémunérés par la LNH au prorata du nombre de rondes disputées, selon une entente négociée avec l’Association des joueurs. L’an dernier, la LNH a distribué 6,5 M$ aux hockeyeurs ayant participé aux séries, dont 1,875 M$ aux champions de la coupe Stanley (Blackhawks de Chicago) et 1,125 M$ aux finalistes (Flyers de Philadelphie).

Ce n’est pas banal lorsque l’on sait que la masse salariale du Canadien représente environ 55% des dépenses annuelles de l’équipe, selon une estimation de Forbes.

L’autre explication: la hausse du prix des billets. Il est de notoriété publique – et les détenteurs d’abonnements saisonniers seraient les premiers à le corroborer – que le Tricolore ne se gêne pas pour augmenter le prix des billets lorsqu’il réussit à se tailler une place pour le tournoi printanier. L’an dernier, cette hausse atteignait 60 % pour certaines sections du Centre Bell.

D’ailleurs, les détenteurs d’abonnements ont acquitté depuis plusieurs mois le coût de leurs places pour chacun des 16 matchs potentiels à domicile en séries, une somme qui sera ensuite remboursée au prorata des parties non disputées ou qui sera appliquée sur l’acquisition des droits pour la saison 2011-2012.

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site de Ruefrontenac.com, cliquez ici.


samedi 16 avril 2011

Un vendeur de bière utilise Twitter... pour prospérer


L’avènement des nouvelles technologies et des médias sociaux a transformé radicalement la manière de faire des affaires dans toutes les sphères de notre société.

Pour leur part, les organisations sportives rivalisent d’imagination pour trouver des moyens de convaincre les amateurs de franchir les tourniquets: bidules portatifs permettant de voir les matchs ou les reprises, statistiques en temps réel, etc.

En ce début de saison du baseball majeur, un employé des Mariners de Seattle a eu une idée originale pour augmenter substantiellement ses ventes et, surtout, ses pourboires. Il a ouvert un compte Twitter (@Msbeervendor) par lequel il s’engage à prendre des commandes de bière et à livrer la marchandise directement au siège des amateurs… assis dans les sections 105 à 129.

«Depuis que la vente itinérante a été instaurée, on parcourt les allées pour trouver qui veut de la bière. Maintenant, je vais changer la manière de faire les choses», a confié Kevin Zelko, un enseignant de 36 ans qui arpente les escaliers du Safeco Field depuis cinq ans.

De meilleurs pourboires

L’employé des Mariners a confié à CNBC.com qu’il vendait environ 80 bières au cours d’une partie locale, du début du match jusqu’au premier lancer de la huitième manche, alors qu’il doit cesser de solliciter la clientèle. En semaine, il peut amasser jusqu’à 125 $ en pourboires ; le week-end, ça peut atteindre 200 $ (plus de 100 bières vendues) et même plus lorsque les Yankees de New York sont en ville.

Zelko espère que l’utilisation de Twitter lui évitera un peu d’improvisation dans son travail et lui permettra d’aller directement où se trouvent ses clients, ce qui devrait lui faire «économiser des pas».

De plus, il s’attend à ce que les amateurs dotés d’un téléphone intelligent, qui naviguent sur Twitter pendant les matchs, soient des gens plus fortunés susceptibles de dépenser davantage.

Qui plus est, il présume que les pourboires seront meilleurs pour une bière «commandée».

Les Mariners appuient son initiative. «Ils aiment l’idée et ils pourraient même agrandir mon territoire. Ça devrait augmenter les ventes et l’interaction avec la clientèle.»

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site de Ruefrontenac.com, cliquez ici.


samedi 9 avril 2011

Coupe Memorial à Shawinigan – Des retombées… à long terme

L’organisation du tournoi de la coupe Memorial à Shawinigan en 2012 aura des retombées économiques importantes sur toute la région de la Mauricie, mais c’est à long terme que la tenue de cet événement sera le plus profitable.

C’est du moins ce que pense le directeur général de Tourisme Maurice, André Nollet, interrogé par le quotidien Le Nouvelliste au lendemain de l’octroi de cet événement d’envergure nationale à la « ville de l’énergie » par un comité de sélection de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ). Rappelons que Shawinigan a devancé trois villes des Maritimes, Halifax, Saint-John et Cap-Breton, au fil d’arrivée.

C’est la présence des médias en grand nombre, provenant de toutes les provinces canadiennes, qui aura le plus d’impact et non la présence des touristes cette semaine-là, soutient André Nollet.

« La visibilité médiatique, c’est difficile à évaluer, mais je pense que ça va nous permettre de tirer notre épingle du jeu sur le plan des retombées. Je pense que ça va attirer l’attention vers la Mauricie, vers ce qu’elle sait faire. »

Comme ce fut le cas trois années plus tôt à Rimouski, des activités thématiques seront organisées à l’intention des journalistes pour leur faire connaître la région, ses spécificités, en espérant qu’ils en feront mention dans leurs reportages.

Le comité organisateur a évalué les retombées économiques directes et indirectes à une somme oscillant entre 8 et 10 M$.

L’événement nécessitera un budget d’exploitation de 3,5 M$. La Ville de Shawinigan y a investi une somme de 400 000 $ qui s’ajoute aux services qui seront rendus (logistique, aménagements à l’aréna, etc.)

L’organisation s’est engagée à verser des redevances de 900 000 $ à la LHJMQ au terme de l’événement, qui seront partagées à parts égales entre les 18 formations du circuit Courteau. En 2009, à Rimouski, cette charge s’était établie à 630 000 $ «seulement».

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site de Ruefrontenac.com, cliquez ici.


samedi 2 avril 2011

Baseball – La valeur moyenne des équipes dépasse le demi-milliard


On peut dire sans se tromper que le baseball majeur est sorti grandi de la plus récente récession puisque ses concessions sont maintenant évaluées à 523 M$ en moyenne – un record –, une augmentation de 7% par rapport à l’année précédente.

L’accroissement de la valeur des concessions est le résultat de meilleurs revenus engendrés par des équipes évoluant dans de nouveaux stades comme les Yankees de New York (+6%, à 1,7 G$) et les Twins du Minnesota (+21%, à 490 M$), ou comme les Marlins de la Floride (+13%, à 360 M$) qui sont censés emménager dans un stade tout neuf en 2012.Toutes les équipes ont enregistré une hausse à l’exception des Mets de New York, des Padres de San Diego et des Indians de Cleveland, révèle l’enquête annuelle réalisée par le magazine économique Forbes.

De très bonnes assistances et cotes d’écoute locales ont fait bondir la valeur de formations comme les Phillies de Philadelphie (+13%, à 609 M$) et les Reds de Cincinnati (+13%, à 375 M$).

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site de Ruefrontenac.com, cliquez ici.


Free Blog Counter