La revue Forbes a publié cette semaine son palmarès annuel des meilleures mascottes.
Encore une fois, c'est la mascotte des Padres, le San Diego Chicken, qui occupe le premier rang.
Celle des Phillies de Philadelphie, Phillie Phanatic, est en deuxième place, aidée dans sa popularité par les succès sportifs et financiers de son équipe.
À la belle époque des Expos, Youppi! n'était jamais bien loin de la tête de ce palmarès... en raison principalement de ses acrobaties sur le toit de l'abri des joueurs.
Aujourd'hui, dans le Centre Bell, il est beaucoup plus tranquille...
Pour voir un diaporama des dix meilleures mascottes aux États-Unis, cliquez ici.
Au lieu de rénover le Rexall Place au coût de 250 millions de dollars, le propriétaire des Oilers d’Edmonton souhaite construire un aréna qui serait partie prenante d’une éventuelle zone mixte – résidentielle, commerciale et récréative – dont le coût est évalué à pas moins de 1,4 milliard de dollars.
Après plusieurs mois de tergiversations, le Katz Group vient de faire un premier geste concret en déposant à la Ville d’Edmonton une demande de modification au zonage pour un terrain de 16 acres – situé dans la partie nord du centre-ville – qu’il requiert pour réaliser cet ambitieux projet.
Ambitieux n’est pas un faible mot. En plus du nouvel aréna – le nombre de sièges n’a pas été révélé –, Katz Group prévoit construire un centre d’entraînement (comme le complexe Bell à Brossard), deux tours à bureaux, deux complexes résidentiels en copropriété, des résidences (pour étudiants), deux hôtels, un centre de congrès et de foires, un studio de cinéma, des boîtes de nuit, des espaces commerciaux multiples ainsi qu’environ 4 000 places de stationnement.
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Malgré la victoire de vendredi soir, le Canadien a encore une très lourde commande sur les bras. La prochaine défaite contre les Capitals de Washington signifiera la fin d'une campagne couci-couça et les jours suivants, comme à l'habitude, seront l’occasion pour l’organisation et les commentateurs sportifs de faire le bilan sportif de la saison. Pour ma part, une seule question d’ordre économique s’impose: le Canadien a-t-il présenté un spectacle suffisamment relevé pour justifier une hausse du prix des billets?
Un article publié dans la dernière édition du SportsBusiness Journal (SBJ) rapporte que le Tricolore s’apprête à annoncer une augmentation moyenne se situant entre 1% et 6% pour la saison 2010-2011.
Une information qu’a niée le vice-président Communication et Relations communautaires du Canadien, Donald Beauchamp, dans un échange de courriels avec Rue Frontenac un peu plus tôt cette semaine.
«Chez le Canadien, il n’y a pas encore eu de discussions concernant le prix des billets pour la saison prochaine. Toute l’attention de l’organisation est présentement consacrée aux séries éliminatoires.»
Qui dit vrai ? On le saura bien tôt ou tard…
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C'est le quart des Saints de La Nouvelle-Orléans, Drew Brees, qui ornera la couverture du jeu vidéo Madden NFL 2011. EA Sports en a fait l'annonce hier.
Pour la première fois, c'est le vote des internautes qui a valu cette sélection au quart des champions en titre du Super Bowl.
Les amateurs de jeux vidéo du genre devront cependant être patients puisque la version 2011 ne sera disponible que le 10 août prochain.
Pour le communiqué de presse (en anglais) d'EA Sports, cliquez ici.
C'est officiel, les matchs du tournoi de basket-ball de la NCAA continueront à être présentés sur les ondes du réseau américain CBS.
Après des mois de spéculations, ce réseau national s'est en effet associé aux chaînes câblées de Turner (TBS, TNT et truTV) afin de s'approprier à nouveau les droits de télédiffusion du March Madness pour les 14 prochaines années (2011-2024).
Le partenariat CBS/Turner a coiffé au fil d'arrivée ESPN, qui soutient avoir présentée une soumission «agressive».
En 2010, CBS avait agit à titre de télédiffuseur officiel pour une 29e année consécutive.
Au terme de cette entente, CBS et Turner auront consenti à la NCAA une somme astronomique de 10,8 milliards de dollars américains.
Ce coût moyen de 771 M$ par année sur une période de 14 ans représente une augmentation de 61% comparativement à ce que CBS a payé au cours des huit dernières années par le biais de l'ancienne entente. Pour lire un article du Sportsbusiness Daily (en anglais) publié à ce sujet aujourd'hui, cliquez ici.
Pour lire le communiqué (en anglais) de la NCAA, cliquez ici.
La NFL ambitionne de faire passer son chiffre d’affaires à 25 milliards de dollars en 2027, mais ce dessein ne se réalisera que si la ligue réussit à augmenter ses revenus de 1 G$ à chaque année d’ici à cette date. Une grosse commande à première vue.
Le commissaire Roger Goodell a évoqué cette estimation le mois dernier lors de la réunion annuelle des propriétaires à Orlando, en Floride.
Bien que ce chiffre doive être vu davantage comme un objectif ambitieux plutôt qu’une projection financière réaliste, cela démontre la progression effectuée par la ligue durant le règne de presque quatre ans de Goodell, que ce soit sur le plan technologique ou à l’échelle internationale.
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Si les responsables du marketing du Canadien sont à court d'idées pour mousser la vente de bières (Molson, évidemment) à 10$ l'unité au Centre Bell, ils pourraient sans doute s'inspirer d'une récente promotion organisée par les Griffins de Grand Rapids, le club-école des Red Wings de Detroit.
Cette équipe de la Ligue américaine a présenté entre les périodes d'un récent match de séries éliminatoires une course entre des canettes de Budweiser, Bud Light et Bud Light Lime... Une promotion - dont je m'abstiendrai de qualifier - qui a sûrement fait le bonheur d'Anheuser-Busch, le fabricant de ces trois marques.
La course a été précédée par une introduction sous forme de vidéo - fort amusante - où l'on pouvait assister à l'«entraînement» des trois canettes avant l'«affrontement» sur la surface glacée.
Je vous avertis, la vidéo ci-dessus risque de vous faire rire... ou au moins sourire!
L’intérêt pour le baseball s’est peut-être amenuisé au Québec depuis le départ des Expos en 2004, mais il est toujours intéressant de suivre l’évolution du prix des billets qui, après une baisse d’assistance de plus de 6% en 2009, est demeuré sensiblement le même cette année.
Le coût moyen des billets pour assister à un match du baseball majeur s’est en effet accru de 1,5%, pour s’établir à 26,74$ (tous les montants sont en dollars américains), alors que le prix moyen qu’une famille peut s’attendre à payer pour une partie dans un stade atteint 194,98$ en 2010, une baisse de 0,7% par rapport à l’année dernière.
Cette hausse de 1,5% est la plus petite augmentation depuis 1991, première année du Fan Cost Index (FCI), un sondage annuel réalisé par une firme américaine, Team Marketing Report (TMR). En 1995, la majoration n’avait été que de 1,6%.
Les Red Sox de Boston ont repris la tête du FCI (334,78$, +2,6%) – ils ont occupé le haut de ce «classement» entre 2002 et 2008 –, le Fenway Park étant le stade où il en coûte le plus cher pour assister à un match pour une famille de quatre en 2010.
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Pour la première fois de l'histoire du sport professionnel (c'est pas moi qui le dit, c'est la direction qui l'affirme), une équipe a donné tous les billets d'un match de saison régulière à ses partisans... sans rien exiger en retour!
Les Rattlers d'Arizona ont décidé de marquer de façon spectaculaire le début de leur saison 2010 dans l'Arena Football League (AFL) en offrant gratuitement les 17 000 places du US Airways Center, une salle omnisports située près du Chase Field, le stade des Diamondbacks (baseball), au centre-ville de Phoenix.
Ce match sera disputé ce soir contre le Rush de Chicago.
L'équipe n'a pas révélé combien cette générosité lui coûterait, mais il est possible qu'elle ait reçu l'aide de commanditaires pour financer l'«opération».
Les billets - un maximum de quatre par personne - ont été distribués par le biais de Xiango, Casino Arizona et Napa Auto Parts, indique un communiqué émis par l'équipe.
Saviez-vous que chacun des matchs de séries éliminatoires disputés au Centre Bell rapportait un profit net de 2 M$ ?
C'est le journaliste Vincent Brousseau-Pouliot, de La Presse Affaires, qui rapporte ce chiffre aujourd'hui, un montant réaliste que le Canadien a toujours refusé de confirmer.
Donc, si le CH remportait la coupe Stanley en disputant le maximum de parties à domicile, c'est une somme de 24 M$ qui irait directement dans les coffres de l'équipes. Mais ne comptez pas trop là-dessus...
Pour l'instant, le groupe d'actionnaires mené par les frères Molson n'a que deux parties d'assurées au Centre Bell, ce qui lui garantit un bénéfice de 4 M$. Pas mal quand même...
À lire, deux articles de Vincent Brousseau-Pouliot:
Tiger Woods n’a pas gagné son cinquième veston vert au tournoi des Maîtres, mais il a montré à la face du monde qu’il n’avait pas perdu son efficacité sur un terrain de golf, ce qui s’avère la clé pour attirer l’attention de futurs partenaires commerciaux.
Deux experts en marketing et en commandite sportive consultés par RueFrontenac.com sont catégoriques : Woods a passé son premier test en démontrant qu’il pourrait reprendre sa place parmi les meilleurs golfeurs de la planète, ce qui est un gage de succès dans la conquête… de nouveaux commanditaires.
Selon Jean Gosselin (à gauche), la « marque » Tiger Woods avait déjà été réhabilitée lundi dernier après sa conférence de presse.
« Par ses propos (et ses excuses), il avait redonné confiance à ses partenaires. Il avait cependant besoin de confirmer ses dires par son jeu, ce qu’il a réussi en terminant en quatrième place », a avancé ce stratège en communication et commandites.
« Tiger a démontré qu’il avait encore sa touche magique sur le terrain et qu’il était un adversaire redoutable grâce à sa concentration, son caractère et sa force physique, a précisé Luc Dupont, un professeur de marketing à l’Université d’Ottawa. C’est grâce à ces qualités qu’il attirera à nouveau l’attention d’entreprises en quête d’une tête d’affiche. En fait, pour y arriver, il est condamné à performer.»
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Phil Mickelson a remporté son troisième veston vert hier à Augusta et il a fait plaisir à plusieurs amateurs de golf américains.
Cette victoire au tournoi des Maîtres a effectivement permis à un nombre indéterminé de clients du détaillant américain Golfsmith de se faire rembourser l'achat d'un bois no 1 (Callaway Diablo Edge, FT-Tour ou Ft-iZ) effectué entre le 12 mars et le 7 avril derniers.
Dans un communiqué de presse émis tard hier soir, Golfsmith a indiqué que la valeur du remboursement de cette promotion intitulée «If Phil Wins, You Win» atteindrait environ 1 M$.
Il faut cependant savoir que ce ne sera pas le coût assumé par Golfsmith. Dans des promotions du genre, les entreprises ont l'habitude de contracter une assurance pour se prémunir contre ce genre de surprises...
Selon Darren Rovell, de CNBC, cette assurance aurait coûté quelque 50 000 $, une somme dérisoire compte tenu du nombre de magasins (74) que compte Golfsmith aux États-Unis.
Une belle publicité pour moins de 1000 $ par point de vente, c'est presque une aubaine!
Pour voir la promotion mettant en vedette Mickelson, cliquez sur le triangle dans la vidéo ci-dessus...
Un professeur d'économie à l'Université du Québec à Montréal, Philippe Merrigan, parle de l'impact économique de la participation du Canadien en séries éliminatoires et de l'éventuelle retour de la LNH à Québec.
Pour écouter cette entrevue réalisée par CKAC Sports, cliquez ici.
La récession censée faire très mal à l’industrie sportive n’a finalement pas eu trop d’effets sur la valeur des concessions du baseball majeur qui, en moyenne, s’établit à près de 500 M$. Sans surprise, les Yankees de New York trônent encore au haut de la pyramide (1,6 G$) pendant que les « pôvres » Pirates de Pittsburgh occupent le dernier rang (289 M$) à ce chapitre.
Selon la plus récente estimation annuelle réalisée par Forbes, les Yankees valent presque deux fois plus que la concession occupant le deuxième rang à 870 M$ (tous les montants sont en dollars américains), les Red Sox de Boston.
En plus de remporter leur 27e titre de champions du monde en 2009, les Yankees sont demeurés aisément en tête de ce palmarès – qui s’en approchera un jour ? – avec une progression de 7 % par rapport à l’année précédente.
Grâce à leur nouveau stade et malgré plusieurs sièges vides – les plus chers –, les Yankees ont empoché des revenus de 441 M$. Ils peuvent dire merci aux 3,7 millions de spectateurs qui ont encaissé sans coup férir des hausses de prix hallucinantes dans certains cas.
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Après la «réelle» publicité avec Nike, voici deux parodies de SlateV.com où Tiger Woods est associé à de nouveaux commanditaires (cliquez deux fois sur la vidéo)...
darrenrovell1 Nike's Tiger spot hit YouTube 3 hrs ago and there are still 25 tweets/minute on it. The Swoosh sure got attention tonight.
TimLemkeSports : Nike's new Tiger Woods ad is just dumb. Nike is partnering w/Tiger b/c of his golf. Focus on the golf. The ghost of Earl thing is just odd.
SportsBizNews BTW in terms of the Nike Tiger Woods spot -- say what you want, but Nike has stood by Tiger, for better or for worse
SportsBizNews: Nike of the Living Dead -- headline of the year
Malgré ses déboires personnels qu’il a dû étaler à la face du monde ces dernières semaines, Tiger Woods demeure un athlète d’exception et un sportif recherché pour promouvoir les produits et services des plus grandes sociétés commerciales.
En 2009, ses revenus de toutes provenances auraient dépassé 110 millions de dollars. Et malgré la perte récente de partenaires d’affaires comme Accenture, AT&T et Gatorade, Tiger resterait l’athlète le mieux rémunéré de la planète avec des commandites évaluées à 82 M$ sur une base annuelle, selon la revue Forbes.
Le prolifique golfeur fera un retour remarqué au jeu cette semaine lorsqu’il foulera les allées du club Augusta National pour le premier événement du grand chelem de l’année, le tournoi des Maîtres.
Par le jeu des questions/réponses, j'ai fait le point sur ses affaires et sur l’impact de son retour au jeu pour les télédiffuseurs et ses partenaires sur le site Ruefrontenac.com. Pour accéder à cette chronique, cliquez ici.
Une étude anglaise rendue publique vendredi révèle que la NFL est la ligue où la disparité salariale entre ses équipes est la moins grande.
Sportingintelligence rapporte dans son Annuel Review of Global Sports Salaries que le salaire moyen du circuit Goodell différait le moins entre les équipes les plus riches et les plus pauvres que dans toute autre ligue de sport professionnel majeur dans le monde.
Durant la période analysée (saison 2008), les joueurs de l'équipe possédant la moyenne salariale la plus élevée (Cowboys de Dallas - 2,8 M$) gagnaient seulement 1,86 fois plus d'argent que ceux de la formation ayant la moyenne la plus faible (Ravens de Baltimore - 1,5 M$).
Voici le ratio comparatif de dix (10) ligues:
1- NFL (1,86 pour 1) 2- NBA (2 pour 1) 3- IPL - cricket indien (2,06 pour 1) 4- LNH (2,36 pour 1) 5- NPB - baseball japonais (2,9 pour 1) 6- MLS (4,43 pour 1) 7- EPL - soccer anglais (7,02 pour 1) 8- MLB (9,7 pour 1) 9- Série A - soccer italien (15,4 pour 1) 10- SPL - soccer écossais (31,4 pour 1)
Pour en lire davantage à ce sujet (en anglais), cliquez ici.
NASCAR est l’une des propriétés les plus touchées par le retrait de la commandite sportive d’un bon nombre d’entreprises, mais cela n’empêche pas deux entités de tirer leur épingle du jeu en ces moments difficiles : l’équipe Hendrick Motorsports et Dale Earnhardt Jr.
Selon la revue Forbes, la valeur de Hendrick Motorsports est demeurée stable à 350 M$, alors que la moyenne des dix équipes les plus importantes s’est établie à 143 M$, une baisse de 3 % par rapport à 2009.
Propriété de Rick Hendrick, cette équipe dispose des plus gros revenus de commandite de la grille grâce, entre autres, au succès et à la popularité de ses pilotes.
Même s’il n’a remporté qu’une victoire en deux ans, Dale Earnhardt Jr. est le coureur le mieux rémunéré pour une deuxième année consécutive avec des gains de 30 M$ en 2009 – en baisse de 5 M$.
Sur un plan personnel, ses partenariats d’affaires avec Adidas, Nationwide Insurance et Wrangler lui rapportent 10 M$ annuellement.
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La saison régulière 2010 du baseball majeur débute dimanche par un affrontement entre les Yankees de New York et les Red Sox de Boston.
Finis les matchs qui «ne veulent rien dire» pour les 30 formations des Ligues américaine et nationale!
Saviez-vous cependant que les joueurs s'entraînent de plus en plus dans de véritables «palaces» dans les Ligues des cactus et des pamplemousses.
Récemment, la revue économique Forbes s'est penché sur la question et a établi un palmarès des plus dispendieux complexes d'entraînement de l'Arizona et de la Floride.
Pour consulter un diaporama des dix plus beaux ($) sites d'entraînement du baseball majeur, cliquez ici.
PepsiCo Canada a annoncé ces derniers jours que le combattant d'arts martiaux mixtes Georges St-Pierre - GSP pour les initiés - avait signé une nouvelle entente pour demeurer l'un des athlètes canadiens parrainés par Gatorade.
«Nous sommes très fiers d'être associés avec un athlète comme GSP, une figure motivante pour tout Canadien qui transpire», a commenté dans un communiqué Dale Hooper, vice-président marketing de PepsiCo Beverages Canada, le fabricant de Gatorade.
Les modalités financières de l'entente n'ont pas été révélées. Rappelons que l'athlète québécois a dominé chacun des cinq rounds qu'il a livrés à Dan «The Outlaw» Hardy, samedi dernier au New Jersey, ce qui lui a permis de défendre avec succès son titre de champion du monde des poids mi-moyens (170 livres) du UFC. La veille du combat, PepsiCo Canada avait diffusé pour la première fois une vidéo (ci-dessus) sur les ondes de TSN et de Sportsnet pour souligner la conclusion d'une nouvelle entente entre les deux parties.
Brad Arsenau, Cassie Campbell, Gordie Howe, Chantal Petitclerc et Ray Zahab sont les autres athlètes canadiens associés à Gatorade.
Pour accéder au site Internet de Georges St-Pierre, cliquez ici.
