On entend souvent parler des salaires exorbitants des athlètes professionnels, surtout depuis que les conventions collectives des joueurs permettent la divulgation de ces renseignements nominatifs, mais on en sait beaucoup moins sur la rémunération de ceux qui ont la responsabilité de maintenir « l’ordre » sur un terrain ou sur la patinoire.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les hommes au chandail « zébré » ne bénéficient pas d’une « autonomie » – comme les joueurs – leur permettant de « battre » l’inflation à plate couture.
Pour connaître les salaires versés aux arbitres et officiels des quatre sports professionnels majeurs en Amérique du Nord, je vous invite à lire ma chronique publiée sur RueFrontenac.com. Pour y accéder directement, cliquez ici.
En ce dimanche qui nous amène invariablement son lot de matchs de football de la NFL et en ce jour de Coupe Grey au Canada (une prédiction: les Alouettes vont l'emporter 37 à 24 contre les Roughriders), j'ai décidé de vous amener sur un «terrain» où tout exercice d'objectivité est impossible...
Récemment, le SportsBusiness Journal a réuni un panel de 12 «experts» pour déterminer les 25 meilleurs commentateurs (descripteurs et analystes) de football aux États-Unis. De 1 à 25.
Si on s'entend généralement pour dire que le duo Cris Collinsworth / Al Michaels est le meilleur en son genre pendant les retransmissions du Sunday Night Football à NBC, cela ne leur a pas valu la première place de ce palmarès - ils occupent les rangs 2 et 3 respectivement.
Cet honneur revient à Gary Danielson (photo), un analyste de football collégial sur les ondes de CBS. On dit de lui que sa préparation est soignée, que ses propos sont intelligents et que ses observations sont toujours à-propos.
Pour chacun des 25 «élus», on explique la raison de sa sélection dans ce club sélect.
Toute comparaison avec le Super Bowl serait frivole, mais la ville de Calgary et la province de l’Alberta bénéficient tout même de belles retombées économiques ces jours-ci en accueillant plusieurs milliers de visiteurs dans le cadre du match de la coupe Grey.
Les partisans des Stampeders de Calgary auraient souhaité que leur équipe soit de la partie dimanche pour une deuxième année consécutive – ils ont battu les Alouettes de Montréal l’an dernier au Stade olympique lors du match ultime –, mais les Roughriders de la Saskatchewan ont joué les trouble-fête en remportant la finale de l’Ouest le week-end dernier.
L’absence des Stampeders au match de la coupe Grey aurait pu être vue comme une catastrophe aux yeux du comité organisateur. Néanmoins, ses membres savent que la présence de deux équipes de l’extérieur est bien meilleure… pour les affaires.
Pour savoir pourquoi et pour lire la suite de cette chronique publiée sur RueFrontenac.com, cliquez ici.
Histoire très intéressante ces derniers jours rapportée d'abord par le tabloïd The Sun au Royaume-Uni, puis repris par plusieurs médias français.
Ce qu'il faut d'abord savoir, c'est qu'une polémique continue de faire rage en France à la suite de la qualification in extremis des Bleus à la Coupe du monde de soccer qui aura lieu l'an prochain en Afrique-du-Sud.
C'est que le but gagnant de la France, dans un match sans lendemain contre l'Irlande, a été marqué après que son joueur vedette Thierry Henry eut ramené le ballon avec sa main dans la zone de réparation, une infraction que l'officiel n'a pas vu, mais qui a été montrée des centaines de fois à la télévision et qui peut être encore vue dans Internet.
L'un des commanditaires de Thierry Henry, la multinationale Procter & Gamble, a trouvé - volontairement ou non - le moyen de faire parler d'elle à ce sujet.
Selon le quotidien britannique, Gillette France aurait retouché les images le mettant en scène sur son site officiel. Sur la photo de gauche, on voit Henry aux côtés du tennisman Roger Federer et du golfeur Tiger Woods, tenant un ballon dans sa main gauche. Et sur celle de droite, le meilleur buteur de l'histoire des Bleus a sa main gauche dans sa poche ou dans le dos. Sans ballon bien sûr... (remarquez que Federer et Woods ont toujours un «outil» à la main!)
Procter & Gamble a bien sûr nié que ces retouches avaient un quelconque rapport avec ce qui s'est passé lors du match France-Irlande. «Il se trouve que l'animation est différente sur les sites francophones mais rien n'a été modifié depuis janvier 2009», a expliqué un porte-parole.
Si cette «transformation» remonte à presque un an, il y a lieu de se demander si Procter & Gamble savait à l'avance ce qui allait se passer... au moment même où l'Europe est éclaboussé par un scandale de matchs de soccer truqués!
Les uniformes officiels des joueurs de la NBA pourraient être fabriqués en Asie dans un proche avenir, ce qui a fait bondir cette semaine le sénateur de New York, Chuck Schumer.
L'équipementier allemand adidas envisage de mettre fin à son contrat avec des sous-traitants américains et de transférer la production d'uniformes de la NBA dans une usine en Thaïlande.
Cette décision pourrait signifier la perte de 100 emplois dans une entreprise manufacturière du nord de l'État de New York - American Classic Outfitters - qui fabrique, depuis 40 ans, plus de la moitié des chandails portés par Kobe Bryant, LeBron James et cie.
Le deuxième plus gros détaillant d'équipements sportifs et de souliers du monde fait aussi affaire avec deux autres sous-traitants américains pour la production de chandails de la NBA.
Schumer a demandé à adidas de revenir sur sa décision. «Ne pas faire marche-arrière serait vu comme une insulte pour les travailleurs américains et les amateurs de sports de tout le pays.» Dans une récente déclaration, adidas a expliqué sa décision par sa volonté de consolider sa chaîne de montage en déplaçant sa production à proximité de sa «matière première» (matériel).
«Le Groupe adidas produit des uniformes pour des équipes professionnelles, collégiales et amateurs dans plus de 30 usines en Amérique du Nord et elle entend continuer de le faire dans l'avenir», a rappelé l'équipementier.
Adidas est à mi-chemin d'un contrat de 11 ans qui lui vaut d'être le fournisseur officiel des uniformes de la NBA, de la WNBA (basket-ball féminin) et de la NBA Development League.
Il est maintenant de coutume pour une entreprise commerciale associée à un athlète de le féliciter publiquement après qu'il eut réalisé un exploit ou remporté un prix quelconque.
Les équipementiers Nike ou adidas sont les champions pour nous rappeler leur lien avec un sportif après qu'un joueur de tennis, par exemple, eut remporté un tournoi majeur.
Dans le jargon du marketing, on dit que cela renforce l'association positive entre la compagnie et l'athlète.
General Mills n'est pas passé à côté d'une belle occasion ce matin. Profitant du fait qu'un de ses «poulains», Albert Pujols, vient d'être élu joueur par excellence (MVP) de la Ligue nationale de baseball pour une deuxième année d'affilée et la troisième fois de son illustre carrière, le fabricant de céréales a acheté une pleine page de publicité dans les quotidiens de Saint Louis - il évolue pour les Cards - pour féliciter le frappeur de puissance.
Cette opération de marketing visait aussi à rappeler le lancement prochain - les boîtes seront sur les tablettes en janvier 2010 - d'une nouvelle marque de céréales (Wheaties FUEL) qui, selon l'entreprise, s'adressera principalement aux hommes... pour leur donner de l'énergie «gagnante». La recette «gagnante» aurait été élaborée par cinq athlètes d'élite: Peyton Manning (Colts d'Indianapolis), Kevin Garnett (Celtics de Boston), Hunter Kemper (triathlète américain), Bryan Clay (décathlonien américain) et Pujols. Il est possible de suivre les «péripéties» des cinq hommes sur la page Facebook de Wheaties.
Dans un communiqué, le directeur du marketing de Wheaties, Dan Stangler, a témoigné toute sa fierté de compter sur Pujols dans son équipe Wheaties FUEL. «Il est un vrai champion sur le terrain et à l'extérieur du losange, et nous voulons le féliciter pour son troisième titre.»
De nos jours, il ne se passe pas une journée sans que nous soyons exposés à une publicité à laquelle s'est associé un athlète professionnel ou amateur.
Sur la scène internationale, des athlètes comme Tiger Woods, Roger Federer, Maria Sharapova, Michael Jordan, Sidney Crosby, Brett Favre et les frères Manning (Eli et Peyton) ont signé des ententes publicitaires pour endosser les produits de plusieurs marques.
Au Québec, on retrouve aussi ce phénomène par lequel des noms comme George Laraque, Alexandre Despatie, Chantal Petitclerc et Georges Saint-Pierre s'associent à Rogers, McDonald's ou Gatorade.
Mais, souvent, l'odeur du billet vert fait prendre des décisions douteuses aux athlètes.
Comme l'association de Laraque à une boisson énergisante où, dans une publicité sexy, il se mesure à cinq jolies adversaires dans une partie de hockey de rue disputée dans une banlieue cossue. Cette vidéo a fait jaser tout le Québec en octobre même si Laraque s'est «défendu» en disant que son cachet avait été versé à un organisme à but non lucratif.
Dernièrement, le site Maxim.com a publié les dix pires associations athlètes/produits de l'histoire.
Pour jeter un coup d'oeil sur ces «petites merveilles», cliquez ici.
Au cours du week-end, un sondage nous apprenait que huit Français sur dix estiment que la qualification de la France pour le Mondial 2010 de soccer n'est pas méritée.
Quatre-vingt-un pour cent des personnes interrogées considèrent que la qualification est «plutôt pas« ou «pas du tout» méritée après le match nul contre l'Irlande mercredi.
Une proportion encore plus grande (88%) estime que Thierry Henry «n'a pas eu raison» de contrôler la balle avec la main sur l'action menant au but égalisateur des Français.
Hier, un journaliste ou commentateur du site Football365.fr demandait si les Bleus devaient rendre les primes exorbitantes rattachées à leur qualification au Mondial 2010.
Voici ce qu'écrivait Aurélien Canot à propos de ces primes (à noter que 1 euro = 1,58$ CA):
Chaque joueur de l’équipe de France va en effet toucher en moyenne un pactole de 450 000 euros offert par la FFF et les sponsors. Une somme qui résulte de l’addition suivante: 13 000 euros – prévus initialement - par victoire obtenue durant ces éliminatoires (soit 78 000 euros) mais doublées en cas de qualification (donc 156 000 euros en réalité), additionnés aux primes de matchs amicaux (13 000 euros là aussi par victoire, soit 39 000, mais sans possibilité cette fois de doubler le montant qualification ou pas) et aux primes des sponsors. Et là, on touche les sommets avec des primes de 240 000 euros par joueur.
Un joueur comme Aly Cissokho, qui n’a été appelé qu’à une seule reprise par Raymond Domenech et n’a pas joué la moindre seconde, s’en sort donc malgré tout à l’arrivée avec une petite fortune (236 000 euros). Un chèque bien inférieur à celui que se mettront en poche les cadres de cette sélection, comme William Gallas ou bien évidemment le capitaine Thierry Henry. Pour avoir contribué à la qualification de la France pour la Coupe du monde 2010, les deux hommes, et ils ne sont pas les seuls, se verront ainsi rémunérer à hauteur de 422 000 euros. Soit, encore plus ahurissant, la moitié seulement de la prime totale que va recevoir Raymond Domenech, immense gagnant à tous les titres de cette campagne éliminatoire synonyme d’Afrique du Sud.
Il avait en effet été prévu que le sélectionneur toucherait à chaque fois le double de ses joueurs. À savoir 312 000 euros pour les six victoires enregistrées lors de ce parcours qualificatif plus 480 000 euros de primes venant des sponsors principaux des Bleus. En fait, il n’y a que sur les primes qui concernent les matchs amicaux que le meilleur ennemi des Français a reçu la même somme que le reste de son effectif. Détail anecdotique quand on sait qu’au total, Raymond Domenech termine ces éliminatoires avec dans ses poches la somme rondelette de 862 000 €.
Alors, croyez-vous que les Bleus devraient rendre leurs primes (ou une partie) compte tenu que leur participation au Mondial 2010 est jugée non méritée?
J'attends vos commentaires...
En dernière heure, le quotidien L'Équipe rapporte que Domenech a démenti le niveau des primes (862 000 €) qui doivent lui être versées avec la qualification de l'équipe nationale de la France. Pour lire cette réplique, cliquez ici.
On a déjà vu un concours du genre à TSN où un amateur avait la possibilité de gagner jusqu'à 1 million de dollars en réussissant un placement de 50 verges à la mi-temps d'un match de la Ligue canadienne de football (LCF)...
Cette fois, c'est un Anglais de 24 ans, Stuart Tinner, qui a défrayé les manchettes la semaine dernière pendant un match de rugby en touchant la barre transversale d'un des buts avec le ballon qu'il venait de botter sur une distance de 30 mètres pour gagner... 250 000 livres (442 000 $CA).
Tinner a relevé avec brio le «Crossbar Challenge» à la mi-temps du match qui opposait l'équipe de Saracens (Angleterre) à la formation de Boks (Afrique-du-Sud) devant quelque 46 000 spectateurs au stade Wembley, à Londres.
Ce joueur amateur de rugby a connu son heure de gloire devant les caméras de la BBC. «C'est le plus beau jour de ma vie après celui où j'ai perdu ma virginité», ont été les premiers mots de Tinner après qu'il eut réalisé son exploit.
Grâce à sa fortune instantanée, ce «héros d'un soir» comptait se donner une indépendance... en quittant le domicile familial et en s'achetant une automobile.
En 2005, un Ontarien de 25 ans, Brian Diesbourg, avait lui aussi jeté les projecteurs sur lui en réalisant un placement de 50 verges lors d'un concours commandité par la chaîne de restauration Wendy's qui lui avait valu pas moins d'un million de dollars !
Il y a quelques semaines, je vous avais présenté un palmarès des dix entraîneurs les mieux rémunérés en Amérique du Nord avec à sa tête Phil Jackson, des Lakers de Los Angeles (NBA), qui gagne annuellement 10,3M$US.
Le site businesspundit.com a mis en ligne récemment la liste des 25 entraîneurs les mieux payés du monde et, à cette échelle, Jackson n'arrive qu'au quatrième rang! Qui est au faîte de cette liste?
Luis Felipe Scolari (photo), l'ancien entraîneur de la légendaire équipe brésilienne, gagnante de la Coupe du monde de soccer, embauché et licencié à Chelsea en moins d'un an et maintenant entraîneur d'un club en Ouzbékistan, qui bénéfice des millions du Russe Roman Abromavich. Son traitement annuel: 24,1M$US.
Jose Mourhino, de l'Inter Milan (16,3M$US), et Fabio Capello (12,9M$US), de l'équipe nationale de soccer d'Angleterre, devancent aussi Jackson.
La première victoire professionnelle de Michelle Wie, remportée le week-end dernier au tournoi sur invitation de Lorena Ochoa, au Mexique, ne pouvait pas survenir au meilleur moment pour la LPGA, désespérément à la recherche d’un phénomène comme… Tiger Woods.
Le circuit féminin a perdu six commanditaires au cours de la dernière année, a montré la porte à son commissaire récemment et a beaucoup de difficultés à vendre son «produit» aux États-Unis alors que les principales têtes d’affiche sont originaires d’Asie.
Pour lire la suite sur RueFrontenac.com, cliquez ici.
Une rumeur de plus en plus persistante sort de la retraite le septuple champion du monde de F-1, Michael Schumacher.
Dans une entrevue de plus de cinq minutes accordée à BBC Sport, l'ancien pilote Eddie Jordan soutient que l'Allemand fera vraisemblablement un retour en 2010 au volant d'une monoplace de l'équipe Mercedes GP.
«La possibilité est très forte et je pense que cela va arriver», a déclaré Jordan.
Au début du mois, Mercedes avait fait l'acquisition de l'écurie Brawn, championne du monde des constructeurs en 2009.
Si cette rumeur se concrétisait, elle permettrait à Schumacher de rejoindre Ross Brawn - directeur de l'équipe Mercedes GP - qui a été de toutes ses conquêtes de championnat des pilotes avec Benetton et Ferrari.
Un seul obstacle semble se dresser devant Schumacher, aujourd'hui âgé de 40 ans: son contrat de conseiller avec Ferrari.
D'après Jordan, Schumacher a rencontré (ou serait sur le point de le faire) le président de Ferrari, Luca di Montezemolo, pour lui demander de le libérer de toute attache contractuelle. Il croit que cette «libération» lui sera accordée parce qu'«elle est dans l'intérêt de la F-1».
Reverrons-nous une «bataille» Michael Schumacher-Jacques Villeneuve en piste l'an prochain? Attendons un peu avant de «partir en peur»...
D'ailleurs, la porte-parole de Schumacher, Sabine Kehm, vient d'affirmer que son retour en F-1 est «hautement improbable» même s'il ne ferme pas complètement la porte...
Un peu comme Villeneuve, quoi? À suivre.
Pour voir en entier l'entrevue de Jordan, cliquez ici.
Pour quitter le sud de la Floride le 8 février, où sera disputé la veille le prochain Super Bowl, il en coûtera un peu plus cher pour monter à bord d'un avion.
Quatre des plus importantes compagnies aériennes américaines, qui avaient annoncé plus tôt des surcharges pendant la prochaine saison des Fêtes, ont confirmé qu'elles appliqueraient ces frais supplémentaires sur plusieurs autres dates en 2010, dont le lendemain du match de championnat de la NFL prévu le dimanche 7 février, à Miami.
En fait, Delta, Northwest, United et American Airlines ont décidé de faire ce «cadeau» à leur clientèle à chaque date où elles croient que la demande de billets sera plus forte qu'à l'accoutumé.
Le site Internet BestFares.com nous apprend que Delta, Northwest et United ont ajouté des surcharges à une quarantaine de journées d'ici mai 2010. Les frais peuvent atteindre jusqu'à 30$ pour chaque aller simple dépendant de la distance, du temps de vol et d'autres facteurs propres aux compagnies aériennes.
Pour le lendemain du Super Bowl, on y est allé encore plus fort; 50$ seront exigés pour un aller simple au départ des aéroports de Fort Lauderdale, Miami et West Palm Beach.
La bonne nouvelle pour les amateurs de football américains? La compétition demeure très forte dans cette industrie et plusieurs autres compagnies aériennes (Virgin America, Southwest et JetBlue, par exemple) n'ont pas encore succombé à la tentation d'appliquer de frais semblables.
Selon des analystes, les compagnies aériennes tentent de se prémunir contre une éventuelle flambée du prix du pétrole... Mais ce que le consommateur doit savoir, c'est qu'il n'obtiendra pas de remboursement si le prix devait demeurer au niveau actuel !
Pour lire un intéressant article publié à ce sujet sur le site de CNBC.com, cliquez ici.
Le stade Silverdome de Pontiac, au Michigan, dont la construction a coûté quelque 55 millions de dollars américains en 1975, a été octroyé pour seulement 583 000 $US à un groupe originaire de Toronto lors d'une vente aux enchères organisée par les autorités municipales.
Pourtant, la Ville de Pontiac avait refusé des offres de 17M$, 18,5M$ et 22M$ ces dernières années pour cette enceinte dotée de 80 300 sièges.
Cette vente aux enchères, à laquelle seulement quatre groupes d'acheteurs potentiels avaient été invités, a semé la grogne dans cette ville de 66 000 habitants touchée durement par la crise économique.
Tellement qu'un avocat ayant offert 20M$ il y a deux ans pour se porter acquéreur du Silverdome et des 127 acres de terrains adjacents demandera aujourd'hui à un juge de bloquer cette transaction par la voie d'une injonction (les détails sur le site du quotidien The Detroit News).
Ce stade est l'ancien domicile des Lions de Detroit (NFL) qui l'ont «abandonné» en 2002 pour s'installer dans un amphithéâtre plus moderne au centre-ville de Detroit (Ford Field). Il avait accueilli en 1982 le premier Super Bowl à se dérouler dans le nord des États-Unis.
Les Pistons (NBA) ont aussi joué en ses murs entre 1978 et 1988.
L’équipe nationale de soccer de France disputera un match crucial mercredi contre l’Irlande. Après avoir remporté la première partie au compte de 1 à 0 à Dublin samedi dernier, les Bleus n’ont besoin que d’un match nul pour se qualifier pour la Coupe du monde disputée en 2010, en Afrique du Sud.
Ces jours-ci, ce n’est pas le match de demain qui défraie les manchettes, mais la somme que la Fédération française de football (FFF) exigera à ses commanditaires pour la période 2010-2014.
Selon le quotidien Le Parisien, l’instance dirigeante a déjà fait savoir à ses partenaires que les tarifs seraient revus à la hausse pour les quatre prochaines années.
Ce qu'il faut savoir, c'est qu'une association avec les Bleus n’a pas la même valeur si cette formation ne participe pas à l’un des événements les plus médiatisés de la planète l’été prochain.
Les commanditaires actuels ont jusqu’à la mi-décembre pour indiquer s’ils acceptent les hausses proposées.
Finalement, le résultat du match contre l’Eire pourrait avoir une importance capitale sur les finances de l’équipe.
Pour consulter l’article du journal Le Parisien,cliquez ici.
Après avoir joué une saison complète sans commanditaire, le golfeur professionnel Ryan Moore vient d’adopter une nouvelle approche dans un partenariat avec un fabricant de bâtons. Au lieu de se transformer en simple «homme-sandwich», il deviendra l’un des copropriétaires de… Scratch Golf.
Pour lire la suite d'une chronique que j'ai écrite à ce sujet sur Ruefrontenac.com, cliquez ici.
La décision de Marcus Jordan de porter les célèbres chaussures de son père Michael – Nike Jordan Air – pendant un match de son équipe collégiale pourrait faire perdre une commandite d’adidas – une entente de six ans évaluée à 3 M$ US – à l’université Central Florida (UCF).
Vous voulez en savoir un peu plus sur cette histoire?
«Ça adonne bien» puisque je viens de publier une chronique à ce sujet sur Ruefrontenac.com. Pour la lire, cliquez ici.
Je l'ai déjà écrit dans cette colonne, le système idéal en serait un où les athlètes seraient rémunérés d'après leurs performances.
Mais puisque la plupart des conventions collectives ne permettent pas ce genre d'«arrangements», il existe toujours des athlètes trop bien payés en comparaison de ce qu'ils donnent réellement à leur équipe.
La NBA ne fait pas exception à cette règle. La revue Forbes s'est «amusée» récemment en compilant une liste des athlètes surpayés dans le circuit Stern.
C'est à un joueur des Lakers de Los Angeles, champions en titre de la NBA, que revient cette palme peu enviable. Le centre Andrew Bynum, un choix de première ronde il y a quatre ans, est assis sur un contrat de 58M$US (14,5M$US par année) alors que ses statistiques sont plutôt anémiques: une moyenne de neuf points et de six rebonds par match (21 minutes de jeur par partie) depuis le début de sa carrière professionnelle.
Pour voir un diaporama de neuf autres athlètes qui ne méritent pas leur salaire selon Forbes,cliquez ici.
L'agence CAA Sports, qui compte parmi ses clients les hockeyeurs Sidney Crosby et Evgeni Malkin, les footballeurs Peyton Manning et Tony Romo ainsi que les basket-balleurs LeBron James, Carmelo Anthony et Dwayne Wade, vient de nommer Peter Kenyon à la tête de ses activités internationales.
Considéré comme l’un des cadres les plus influents du sport mondial, l'ancien président-directeur de Chelsea FC et de Manchester United sera chargé de piloter la croissance internationale de l’agence dans les domaines de la représentation des athlètes, de la vente de propriétés sportives, de la commandite, des droits des médias et du conseil d'entreprise, entre autres.
Peter Kenyon va aussi développer les opérations londoniennes de CAA Sports en supportant la mise en place d’une équipe consacrée à la vente et à la gestion internationales.
Un communiqué de presse nous rappelle qu'«en tout juste trois ans après ses débuts, CAA Sports, une division de Creative Artists Agency (CAA), l’une des plus importantes agences spécialisée dans le divertissement et le sport, est devenue la chef de file des sociétés de représentation de joueurs aux États-Unis, représentant plus de 500 des meilleurs athlètes, entraîneurs, diffuseurs et personnalités sportives du monde. CAA Sports œuvre également dans les domaines du marketing d’entreprise, des droits de diffusion et du sponsoring des propriétés sportives.»
Pour lire le communiqué de CAA Sports et connaître la feuille de route impressionnante de Kenyon, cliquez ici.
La NBA a mis en circulation mardi le bulletin de votation en vue du match des étoiles et, pour la première fois, les amateurs peuvent effectuer leurs choix par... messagerie texte.
Les fans ne peuvent voter qu'une fois par jour, par numéro de téléphone, en «textant» le nom de famille d'un joueur à 6-9-6-2-2 (MYNBA). La votation peut aussi se faire sur papier dans chaque aréna et sur le site Internet de la NBA.
On retrouve 60 joueurs par conférence sur chaque bulletin. Les amateurs peuvent choisir deux attaquants, deux gardes et un centre.
La votation a débuté hier et se terminera le 10 janvier pour le bulletin papier et le 18 janvier pour la version électronique.
Les deux formations partantes seront annoncées le 21 janvier.
La partie d'étoiles de la NBA aura lieu le 14 février à Dallas.
Fait intéressant, le match sera disputé au nouveau stade des Cowboys où le circuit Stern s'attend à une foule de plus de 80 000 spectateurs, ce qui serait la plus grande assistance de l'histoire pour un match de basket-ball.
Chad Ocho Cinco, des Bengals de Cincinnati, est un énergumène dans la jungle de la NFL; on ne compte plus ses frasques depuis son arrivée dans le circuit Goodell.
Dimanche, il a encore fait des siennes dans la rencontre opposant son équipe aux Ravens de Baltimore.
Au troisième quart, l'équipe adverse a demandé le recours à la reprise vidéo pour contester un attrapé d'Ocho Cinco jugé réussi par l'officiel le plus rapproché - les Ravens alléguaient que le receveur n'avait pas conservé les deux pieds à l'intérieur du terrain après l'attrapé et avant de quitter la surface de jeu.
Pendant le temps d'arrêt occasionné par la révision du jeu, Ocho Cinco a convaincu un entraîneur adjoint de lui donner un dollar.
Il s'est par la suite approché d'un officiel pour lui remettre le billet vert dans une tentative de le convaincre de confirmer son attrapé. L'homme au chandail rayé n'a rien remarqué de la «manoeuvre» et n'a pas engagé la conversation avec le numéro 85.
Au bout du compte, la décision initiale a été renversée. Malgré tout, les Bengals ont vaincu les Ravens au compte de 17 à 7.
Grand amateur de Twitter, Ocho Cinco s'est servi de ce nouveau média pour faire savoir qu'il s'agissait d'une... blague.
Le commissaire Roger Goodell devrait annoncer dans les prochaines heures la pénalité (lire amende) qu'il imposera à l'excentrique joueur des Bengals. Ce qui est certain, c'est que ce sera beaucoup plus qu'un dollar...
Le mois dernier, l'ailier espacé avait reçu une amende de 10 000 $US de la NFL pour avoir porté la mauvaise couleur de courroie de casque (noir au lieu du blanc) lors du revers des siens contre les Texans de Houston.
MISE À JOUR: le 13 novembre, la NFL a imposé une amende de 20 000 $US à Ocho Cinco pour ses frasques du week-end dernier.
Saviez-vous que les équipes sportives professionnelles françaises ne pourront plus profiter d’une disposition leur permettant de mettre à l’abri de l’impôt une portion pouvant aller jusqu’à 30% du salaire d’un joueur pour leur assurer une meilleure compétitivité sur la scène européenne?
Si les Français sont très majoritairement d'accord avec cette décision de l'Assemblée Nationale, les ligues professionnelles ne le prennent pas!
Je viens de publier une chronique à ce sujet sur Ruefrontenac.com. Pour la lire, cliquez ici.
Les dix uniformes les plus vendus aux États-Unis au cours de la dernière année sont tous issus d'une équipe de la LNF. Et les cinq premiers «vendeurs» sont des quarts...
Selon la firme américaine SportsOneSource, qui compile les ventes de marchandises liées à l'industrie du sport, l'uniforme numéro 9 porté par Tony Romo, des Cowboys de Dallas, s'est écoulé à plus de trois millions d'exemplaires depuis un an.
Romo a une gueule de star - il a été le petit ami de la chanteuse et actrice Jessica Simpson - et a la chance d'évoluer pour l'équipe la plus médiatisée en Amérique du Nord.
Les autres quarts dans le Top 10: Eli Manning, des Giants de New York (3 millions), Ben Roethlisberger, des Steelers de Pittsburgh (2,8 millions), Mark Sanchez, des Jets de New York (1,8 million), Brett Favre, des Vikings du Minnesota - des Jets auparavant - (1,79 million), et Peyton Manning, des Colts d'Indianapolis (1,5 million).
C'est la deuxième année consécutive que les ventes du chandail d'Eli sont plus nombreuses que celles de son frère Peyton, ce qui peut s'expliquer par la victoire-surprise des Giants au Super Bowl de 2008 contre les Patriots de la Nouvelle-Angleterre.
Les autres joueurs dans le Top 10: Adrian Peterson, des Vikings, Reggie Bush, des Saints de La Nouvelle-Orléans, LaDainian Tomlinson, des Chargers de San Diego, et Troy Polamalu, des Steelers de Pittsburgh.
Pour voir un diaporama des dix meilleurs «vendeurs» de la NFL, cliquez ici.
L'Américaine Serena Williams a conclu dimanche dernier une belle saison (deux victoires en tournois du Grand Chelem et le titre aux Masters), qui l'a portée lundi au premier rang mondial du classement WTA, mais a aussi fait d'elle la joueuse empochant les plus gros gains en un an sur le circuit féminin.
Voici ce que rapportait une dépêche de Reuters plus tôt cette semaine:
La numéro un mondiale Serena Williams a établi un nouveau record de gains en une saison sur le circuit féminin avec 6 545 586 $US amassés cette année, annonce la Women Tennis Association (WTA).
L'Américaine, victorieuse de 11 tournois du Grand Chelem et lauréate dimanche du Masters féminin, a empoché près de 30 millions de dollars depuis le début de sa carrière.
«C'est incroyable à quel point le tennis féminin a grandi ces dernières années et que le circuit ait augmenté nos gains de façon si grande», a déclaré la joueuse dans un communiqué.
«Nous sommes très chanceuses d'avoir l'opportunité d'être si bien récompensées pour faire quelque chose que nous adorons», a-t-elle ajouté.
Le précédent record de gains avait été établi en 2007 par l'ancienne patronne du tennis mondial, Justine Henin, avec 5 429 586 $US.
Les dirigeants de la WTA ont obtenu ces dernières années d'aligner les gains des femmes sur ceux des hommes dans les grands tournois, notamment les quatre levées du Grand Chelem.
Serena Williams détenait depuis le début de la saison le record de gains pendant une carrière, jusqu'alors propriété de sa compatriote Lindsay Davenport. Elle est la seule sportive au monde à avoir gagné plus de 23 millions de dollars.
Cependant, Williams n'occupera pas le premier rang à la fin de l'année si l'on tient compte des contrats publicitaires et des revenus de commandite.
La Russe Maria Sharapova, malgré une saison en dents de scie, devrait conserver la palme de l'athlète féminine la mieux rémunérée de la planète lorsque les revues spécialisées dévoileront leur classement annuel dans les prochains mois...
Au niveau sportif, l'exploit de Serena reste néanmoins inégalé!
Les Phillies de Philadelphie, qui viennent de s'incliner en six matchs devant les Yankees de New York en Série mondiale, pourraient se faire de nouveaux partisans en Orient.
À chaque année, des vêtements à l'effigie des deux équipes finalistes doivent être manufacturés avant la fin de la série, mais seulement la moitié de l'inventaire (celui de l'équipe gagnante) peut être vendue aux consommateurs par la suite.
Que faire des vêtements «World champions 2009» au nom des Phillies qui ne sont d'aucune utilité?
Le baseball majeur s'est associé à l'organisation humanitaire Vision mondiale pour inclure ces vêtements dans un prochain envoi de marchandises en Indonésie, pays frappé durement en septembre par un tremblement de terre. «Le baseball majeur est une institution avec des responsabilités sociales, a indiqué le commissaire Bud Selig dans un communiqué. C'est une occasion extraordinaire pour faire un geste qui a un impact important sur la vie de gens dans le besoin.»
Selig n'a pas indiqué le nombre d'items qui seront envoyés en Indonésie.
Dans le passé, cette marchandise était détruite pour s'assurer qu'elle ne tombe pas dans les mains de consommateurs...
L'étude annuelle de Team Marketing Report (TMR) révèle qu'il en coûte moins en cher en 2009-2010 pour assister à un match de basket-ball dans les enceintes de la NBA.
Le prix moyen du billet a baissé de 2,8% pour s'établir à 48,90$US. C'est la première fois que cette valeur est en décroissance depuis la saison 2001-2002.
C'est encore les Lakers de Los Angeles qui exigent le plus d'argent pour assister à un match au Staples Centre, soit 93,25$US en moyenne, le même prix que la saison dernière. Les Celtics de Boston occupent le deuxième rang (68,55$US), suivis de près par les Knicks de New York (68,04$US), les Bulls de Chicago (64,25$US) et les Suns de Phoenix (64,16$US).
Les prix moyens les plus abordables sont offerts par les Grizzlies de Memphis (24,10$US), les Hornets de La Nouvelle-Orléans (26,75$US) et les Wizards de Washington (27,21$US).
Par ailleurs, la somme moyenne requise à une famille de quatre personnes pour assister à un match de basket-ball cette saison - le Fan Cost Index (FCI) - s'élève à289,87 $US, en baisse de 1,4%.
Sans surprise, ce sont les Lakers qui trônent au sommet du FCI (475,48$US). Les Knicks (411,17$US), les Celtics (392,70$US), les Bulls (389,00$US) et le Heat de Miami (372,20$US) suivent dans l'ordre.
Dans la NBA, la sortie en famille est moins dispendieuse à Memphis (177,42$US), à Indianapolis - Pacers d'Indiana (191,07$US) et à Washington (196,83$US).
Rappelons que pour établir le FCI, TMR a additionné le coût de deux billets pour adultes à prix moyen, de deux billets pour enfants à prix moyen, de quatre petites boissons gazeuses, de deux bières, de quatre hot-dogs, de deux programmes souvenir, d'une place de stationnement et de deux casquettes.
Pour accéder aux données détaillées (PDF) du prix moyen des billets et du Fan Cost Index, cliquez ici.
Les Américains n'en avaient que pour Brett Favre dimanche.
Le match entre les Vikings du Minnesota et les Packers de Green Bay diffusé sur les ondes de FOX a été regardé par 29,8 millions de téléspectateurs, soit 34% de plus que le duel Giants de New York/Steelers de Pittsburgh (22,3 millions) disputé la même semaine (8), la saison dernière.
La belle prestation de Favre a été la plus suivie depuis le match Patriots de la Nouvelle-Angleterre/Giants en 2007, qui était toutefois télédiffusée exceptionnellement sur trois réseaux (CBS, NBC et NFL Network).
Si on exclut cette rencontre, la partie de dimanche a été la plus regardée depuis un affrontement Steelers de Pittsburgh/Patriots en 2007 (30,3 millions).
Pour FOX, le match Vikings/Packers lui a donné ses meilleures cotes d'écoute en saison régulière depuis le face à face 49ers de San Francisco/Cowboys de Dallas... en 1995 (32,1 millions).
Les lecteurs du Philadelphia Inquirer ont eu la berlue lundi matin en lisant les pages de leur quotidien...
C'est qu'une publicité du détaillant Macy's déployée sur les trois quarts d'une page félicitait prématurément les Phillies de Philadelphie pour avoir remporté leur deuxième série mondiale consécutive. On y offrait même des vêtements avec les mots World Champions...
Rappelons que les Yankees mènent la série 3-2 et que les Phillies devront remporter les deux prochains matchs, mercredi et jeudi à New York, s'ils veulent répéter l'exploit de l'an dernier. Une très lourde commande!
Le journal s'est excusé pour cette erreur sans donner d'explications supplémentaires sur la source du problème.
Le réseau américain NBC, qui détient les droits de retransmission des prochains Jeux olympiques d'hiver, débutera demain (4 novembre), à 100 jours des cérémonies d'ouverture, une campagne promotionnelle intensive dont le thème est «Countdown to Vancouver».
Sa campagne de marketing fera appel à des athlètes olympiques. Ces derniers feront des apparitions publiques fréquentes aux émissions de fins de soirée animées par Jay Leno, Conan O'Brien et Jimmy Fallon.
Demain, le décompte officiel sera lancé lors de l'émission matinale Today.
NBC Sports a aussi produit une autopromotion d'une minute à laquelle participeront six athlètes américains: Apolo Anton Ohno (patinage de vitesse sur courte piste), Lindsey Vonn (ski alpin), Shaun White (surf des neiges), Gretchen Bleiler (surf des neiges), Tanith Belbin (patinage artistique) et Ben Agosto (patinage artistique).
Cette publicité sera mise en ondes demain soir, à une heure de grande écoute, sur toutes les stations locales de NBC aux États-Unis.
Au Canada, CTV, TSN et Sportsnet, qui détiennent les droits pour le marché anglophone, ainsi que V et RDS, pour le marché francophone, n'ont pas dévoilé leur stratégie de marketing pour marquer les 100 jours avant le début des Jeux.
Notons cependant que RDS est en mode olympique depuis plusieurs mois alors qu'elle diffuse un magazine olympique hebdomadaire Vers Vancouver 2010 et qu'elle gère le contenu d'un micro site Internet dédié aux Jeux de Vancouver.
Le propriétaire russe du club de soccer de Chelsea, de la English Premier League, Roman Abramovitch, n'aurait semble-t-il plus de difficultés financières...
Il y a moins d'un an, il affirmait avoir perdu 85% de sa fortune (sur papier) en raison de la crise économique mondiale. À l'époque, on soulignait que, malgré tout, sa fortune s'élevait encore à 3,3 milliards de dollars américains.
Voici une histoire «juteuse» que rapporte le site suisse 20 minutes Online au sujet d'Abramovitch:
«La crise est visiblement passée pour Roman Abramovitch. Le magnat russe aurait dépensé plus de 52 000 dollars américains pour aller manger dans un fameux restaurant new-yorkais.
Au plus fort de la crise, Roman Abramovitch avait carrément décidé de vendre un de ses yachts, mais il n’en aura pas eu besoin pour renflouer ses caisses.
D’après un ticket de caisse divulgué par le site américain TMZ, le propriétaire du club de football londonien Chelsea aurait dépensé plus de 52 000 dollars pour s’offrir un repas chez Nello’s, à New York. C’est Nello Balan, le propriétaire de l’établissement, qui a fourni l’addition au site spécialisé dans les news people.
Accompagné par sa petite amie Dasha Zhukova, son fils Arkady et d'associés d’affaires, le magnat russe aurait dépensé quelque 35 000 dollars en vins. Il aurait acheté deux bouteilles de «Château Pétrus» et trois de «La Tache Romanee Conti».
Quelque 10 personnes auraient participé au repas, qui comportait notamment des truffes et du filet mignon.
Le serveur a également en droit à sa part du gâteau, puisqu’il a reçu 5 000 dollars de pourboire.»
Ce qu'il faut savoir, c'est que ce montant s'est ajouté au pourboire «automatique» de 20% (7328,20$US) qu'on peut voir sur l'addition.
Un porte-parole du milliardaire russe a assuré, samedi soir, que cette note n'a pas été réglée totalement par Abramovich. Le patron des Blues, qui a effectivement mangé au Nello's, aurait réglé moins de 2% de cette facture, toujours selon ce porte-parole.
À cette table, qui d'autre que lui aurait pu régler cette addition? La question se pose...
La crise financière serait-elle déjà derrière... Abramovich?
Alexander Ovechkin est le meilleur ou l'un des meilleurs attaquants de la LNH, il n'y a pas de doute là-dessus. Mais, jusqu'à présent, cela ne se traduisait pas nécessairement par une avalanche d'offres de contrats publicitaires pour le jeune joueur russe...
Le capitaine des Capitals de Washington en était bien conscient et il vient de remédier à la situation en se donnant les moyens de maximiser son potentiel de marketing.
International Management Group (IMG) Worldwilde a annoncé aujourd'hui avoir conclu une entente avec Ovechkin pour gérer de manière exclusive toutes ses «affaires» à l'extérieur de la patinoire: représentation, commandite, droits sur les produits dérivés, marketing, etc.
IMG, qui n'a aucun autre joueur de hockey dans son «écurie», ambitionne de lui dénicher des ententes de commandite au Canada, aux États-Unis, en Russie et dans d'autres pays où ce sport est populaire.
Ovechkin est déjà sous contrat avec CCM-Hockey (il possède sa ligne de vêtements), Energizer et Hockey Ink.
L'ailier gauche de 24 ans et ses parents (Mikhail et Tatiana) continueront de s'occuper des questions contractuelles. Rappelons qu'en janvier 2008, le numéro 8 des Capitals a signé une prolongation de contrat de 13 ans évaluée à 124 M$US.
Pour lire le communiqué de presse (en anglais) émis par IMG, cliquez ici.
