samedi 18 septembre 2010

Que reste-t-il vraiment dans les poches du golfeur?


La prochaine fois que vous verrez les plus grandes vedettes du circuit de la PGA lors d’une ronde finale à la télévision, ne les considérez pas seulement comme des golfeurs professionnels. De nos jours, ces athlètes sont ni plus ni moins que des petites entreprises dotées d’employés qualifiés devant gérer leurs revenus et… leurs dépenses.

Le golf professionnel est aujourd’hui une entreprise très lucrative. Plus le golfeur a du succès, plus sa vie est compliquée. Parlez-en à Tiger Woods! (Ça, c’est une autre histoire…)

Un article publié dans un quotidien de Milwaukee en marge du Championnat des joueurs de la PGA, en août, a révélé des renseignements intéressants sur le nombre effarant de gens gravitant autour des golfeurs et le pourcentage des bourses qui restent dans leurs poches après avoir appliqué toutes les dépenses.

Ça prend tout d’abord un très bon comptable et un maître fiscaliste. Imaginez que le golfeur a empoché des revenus dans une vingtaine d’États américains et dans trois ou quatre pays (Canada, Royaume-Uni et Australie, par exemple)…

«Les golfeurs peuvent fonctionner différemment des athlètes réunis dans une équipe, raconte Don Hoffman, un comptable new-yorkais œuvrant auprès de sportifs professionnels. Ils peuvent se déclarer autant travailleurs autonomes que présidents d’une petite entreprise.»

La moyenne des bourses amassées jusqu’ici en 2010 atteint 922 139$ (tous les montants sont en dollars américains). Le meneur à ce chapitre est Matt Kuchar avec des gains totaux de 4,75M$.

Pour lire la suite de cette chronique mise en ligne sur le site de Ruefrontenac.com, cliquez ici.

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