samedi 19 septembre 2009

Ces pères qui ne veulent que du bien à leur fille... joueuse de tennis

Damir Dokic regarde sa fille Jelena jouer contre Lindsay Davenport. Photo Slate.fr

C'est une histoire comme on en a si souvent entendu sur le circuit de tennis féminin: celle d'une jeune fille qui a mis son destin entre les mains de son père qui, voilà longtemps, a décrété que de sa progéniture, il ferait une championne.

«Sans lui, ne ne serais rien, a avoué Yanina Wickmayer, une Belge de 19 ans qui a disputé la demi-finale des Internationaux de tennis des États-Unis à la Danoise Caroline Wozniacki.

«Il a pris tous les risques pour moi en vendant tout ce qu'il avait et en quittant son travail pour me permettre de m'entraîner en Floride après la mort de ma mère à l'âge de neuf ans.»

Dans le tennis féminin, nombreux sont ces pères à avoir tout misé sur leur fille pour espérer s'ouvrir les portes de l'Eldorado. La liste est longue. Citons entre autres Stefano Capriati, Damir Dokic, Peter Graf,
Jim Pierce, Karolj Seles, Youri Sharapov et Richard Williams, père comblé par deux numéros un mondiales, Venus et Serena.

D'une manière ou d'une autre, tous sont parvenus à leur fin, mais les dégâts psychologiques ont souvent été plus importants que les bénéfices financiers...

Les lignes précédentes sont un condensé d'un article très intéressant publié par le confère Yannick Cochennec, de Slate.fr. Dans un papier étoffé, il rend compte du comportement de ces pères qui ont tout misé sur la carrière de leur fille sans se soucier des effets dévastateurs de leurs agissements...

Pour lire cet article, cliquez ici.

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